[terminé] Le survivant...

Vladek suivait depuis quelques jours le général des armées elfiques et les quelques soldats qui étaient parti avec lui. Il avait appris, selon une rumeur qui courait dans la garnison, que Torgan avait déserté le territoire réservé aux longues oreilles. Intrigué par ce soudain changement dans les habitudes de son rival, l’assassin le prit en chasse prêt de quatre jour lui sufi pour le retrouvé, et il le suivie comme sa encore une autre semaine. Lorsqu’ils eurent atteint la frontière du territoire des Elfes, Vladek décida de passé à l’action. Cacher dans un arbre qui surplombe la route, l’assassin plaça un carreau sur son arbalète. Sans faire de bruit, il attendit que les soldats fussent assez proches pour sauté au milieu arrière du groupe. Prit par surprise, ils n’eurent pas le temps d’esquissé un seul mouvement. Vladek planta son épée dans la cuisse de celui qui lui avait semblé le plus coriace, puis évita un coup destiné à lui faire perdre la tête. Il tira son carreau sur celui qui avait sorti son arc un peu plus loin, puis sorti sa kukri et la plaça sous le coup de l’autre à ses côtés. Il compta trois seconde. Ce fut le temps exacte que sa prit aux combattants restant pour placé leurs armes vers l’assassin, empêchant tout mouvement.
- Qu’est-ce qu’on fait de lui, monsieur? dit celui avec le sabre dans la cuisse.
- Tu sais, il y a de cela un an, je ne t’aurais jamais cru capable d’un tel choix …
- Monsieur? répéta le soldat, un peu accablé par ce que l’assassin disait.
- S’enfuir de son royaume, faut le faire, alors que tu ne pouvais même pas décider de me tué sans l’avis de la reine.

Depuis plus de 5 semaines Torgan marchait avec qu’une destination en tête la terre du seigneur noir pourquoi ? il voulait mourir ou chercher soif de vengeance il ne sait pu ses alors que un veux rival arriva blessant quelque un de sa troupe il an fichait son cœur était devenu noir et sombre quand a ceux qu’il restait il lavait stopper de tout mouvement Torgan se contant de sourire, il sourie d’un sourire désintéresser et quelque peu sadique il avait sa vie entre les main ses alors que le coriace de la bande parla
-Qu’est-ce qu’on fait de lui, monsieur
-Tu sais, il y a de cela un an, je ne t’aurais jamais cru capable d’un tel choix
Bien évidement l’assassin parla et comme le pensait Torgan il se contentait de reprocher son choix. Torgan aurait pu exécuter la mort de l’assassin a se moment mais il ne fis rien.
- S’enfuir de son royaume, faut le faire, alors que tu ne pouvais même pas décider de me tué sans l’avis de la reine.
comme le pensait Torgan ,vladek ne s’arrêta pas la il continue mais ses parole si le touchère un peut plus il le fusilla du regard très froidement
- se que je fais ne te concerne pas
Ses alors que l’un de ses compagnons arriva près de Torgan et lui chuchota
- on ne peut pas le laisser vivre si il découvre le poteau rose on est cuit.
Torgan sortis son sabre et le mis sous la gorge de vladek et dit :
- on a trois choix soit je te tue se qui est radical, soit tu repars sans faire d’histoire ,soit tu me suis sans poser de question.

Vladek fut surpris par le ton dur de la voie de son ami lorsque celui-ci lui répondit « Ce que je fais ne te concerne pas. », mais n’en laissa rien paraître. Toujours calme, il tendit l’oreille pour entendre ce que le soldat dit a Torgan «On ne peut pas le laisser vivre si il découvre le poteau rose on est cuit.». Vladek chercha un détail passé qui lui aurait échappé, qui lui aurait permis de trouvé ce ‘‘poteau rose’’. C’est alors qu’une lame vint se posé sur son coup. Torgan lui donna trois choix. Vladek n’en aimait aucun. En fait, il ne savait même pas pourquoi ces choix lui était imposé. Il sourit tellement la situation était extravagante. Alors que lui, presque tout les jours de sa vie, il tuait des gens qui, parfois, ne savaient pas pourquoi, il trouvait le moyen de se mettre dans une situation peu souhaitable, et chialait intérieurement de son désavantage. Néanmoins, il laissa planer un silence impatiens pendant quelques secondes. Il sentait le souffle chaud et rapide provenant de la bouche de son prisonnier. Toujours souriant avec son sourire mesquin, il dit, tout en faisant de léger mouvement avec sa kukri sur le coup du soldat :
- Alors Torgan, te reste-t-il un peu d’honneur? Un peu de compassion?
Vladek voyait bien que Torgan avait changé. Il doutait que celui-ci ne se porte garant de la mort de ses hommes. L’assassin sentait maintenant son prisonnier gigoté, greloté, et des larmes de peur perlaient à la commissure de ses yeux. Il aurait bien vérifié si l’elfe avait relâché son urine dans son pantalon, mais il ne désirait pas vraiment que l’ancien général profite de son inattention pour l’attaquer.
- Si toi ou l’un de tes hommes ne m’attaque, ton pauvre frère d’arme que je tiens s’en trouvera fort endommagé.
Pour être sur d’avoir un appui, il continua :
- Donc, si tu m’attaque, tu cause la mort de celui-là. Que vont penser les autres? Vas-tu tous les sacrifié, un à un, pour arrivé a tes fins?

Torgan aurait du le voir venir Vladek venait de faire prise en n’otage un pion du plan un m’ayons de la chaine qui pourrait facilement laisser mourir car tout autant qu’il était lui servait de protection jusqu'au terre du seigneur noir ,mais comment allait prendre les elfe qui l’accompagnait si jamais Torgan le laissait tuer cette elfe il soupira et dit

-Vladek de ta part j’aurai du men douter . de tout façon nous somme tousse mort qu’il meurs quand nous ne nous importe pas car on est ici non pas pour survivre mais pour mourir au combat contre notre ennemis et présentement ses toi notre ennemis

Torgan sorti son arme et la déposa sous le cou de l’efle prie en n’otage et dit :

-Alors Vladek comme le dit un profaite tu tien la vie de cette oiseau entre tes main soit tu le tue car de tout façon ses ton plans si on obéis pas soit je le tue et que ma lame te tue toi aussi

Les 5 soldait et les 5 archer le regardait apeurer de la nouvelle attidude de lancien général il ne bougait pas mais sauvait une chose par compte torgan marquait un point se qui favorisait celui-ci il n’allait pas le contre dire ni protester le seul qui se débâtait voir même crier des insulte était le n’otage torgan soupira et ils fit signe au archer de pointer les deux homme et si vladek bougeait il n’avait cas ordonner le feux .

Vladek eu un soupire de mépris. Les choses devenait corsé. Un peu plus. Pourtant, l’assassin de légende n’était pas stressé le moins du monde. La seule chose qu’il désirait était de sortir de cette impasse le plus indemne possible. Torgan prenait un malheureux plaisir à lui compliquer les choses et, malgré tout, il s’en sortirait. Comme toujours. Le Survivant.
Il y a dix hommes au sol. Quatre d’eux son blessé, l’un prit en otage. Sans compté Torgan. L’un des blessés ne peu pas servir a grand-chose lors d’un combat, les trois autres ne pourraient pas poursuivre l’assassin si une fuite venait à prendre forme. Les autres sont en pleine forme, sinon affaibli par la semaine de voyage qu’ils venaient d’endurer. S’il réussissait à encombré Torgan de son otage en le lui lançant dessus, à tué deux des hommes encore fort avec sa lame secrète, à récupéré son sabre dans la jambe d’un des blessés pour en tué trois autres, puis il prenait la fuite, il pourrait…
Le visage de Vladek perdit toute expression. Il venait de se rendre compte de la réalité. De voir l’inévitable. Rien ne pourrait le sauvé. Les cinq archers qu’il n’avait pas remarqué jusqu'à maintenant débalançait la manche. Rien ne pourrait le sauvé. Pourtant, il ne voulait pas se plié aux demandes de l’ancien général. Ne pouvait pas. Rien ne pourrait le sauvé.
Pourtant, sa lumière n’était pas éteinte. Il pouvait s’en sortir. Peut-être pas dans le meilleur des avantages, mais il pouvait s’en sortir. Lui, le Survivant.
Vladek réévalua la situation. Pour donné un coup de masse, ses adversaire devait être plus proche. S’ils l’attaquaient, il pourrait fort bien l’évité, et peut-être même sortir de ce piège. Il devait seulement faire en sorte d’une chose; que les soldats s’approchent.
La nature laissa une légère brise se faufilé entre les guerriers, qui vint soulever la cape de l’assassin. Son plan se dessinait tranquillement dans sa tête. Après une minute d’attente, il s’exclama, après avoir fait basculer son poids sur sa jambe gauche et avoir vouté un peu ses genoux :
- Je t’attends…
Sa voie n’avait été qu’un soupir, pourtant, même les archers avaient put entendre ces simples mots qui allaient sans doute déclencher le combat.
Sa voie n’avait été qu’un soupir, pourtant, elle portait en elle un message, une promesse. Mort. De mille souffrances.

Torgan sourit à la parole de Vladek. Cela faisait quelques minutes qu’il attendait. Ses hommes le regardaient, attendant ses ordres. Malgré tout, Torgan avait encore un sentiment pour Vladek. Il ne voulait pas sa mort, loin de la. Mais ses pansées étaient si sombres, si mélangé, entre son passé et son présent. Il ne savait plus qui il était. D’un côté, on lui disait de le tuer. De l’autre, il se disait qu’il n’en valait pas la peine, ou plutôt que le combat n’était pas juste. Il fit signe aux gardes d’abaisser leur arme, puis il s’approcha de l’assassin et lui dit :
- je me fou de cet homme… mais sa n’en vaux pas la peine… Surtout que tu es l’un des plus grands adversaires que j’ai eu à combattre…
Ses soldat commençait a être épuiser mais franchement il sen foutait royalement il savait que s’il réussissait a convaincre le mettre des ténèbres de ses intention ses soldat serait mort.

Vladek fut surpris du changement radical des agissements de Torgan. Alors qu’il s’apprêtait à le tué, maintenant, il cessait toute agression. L’assassin resta sur ses gardes. Après tout, c’était bien le genre de Torgan de changé d’idée radicalement dans un cours laps de temps. Il pourrait très bien décider de l’exécuté si Vladek ne faisait pas attention. En entendant les paroles du général, l’assassin sourit d’un sourire composé d’un mélange de haine et de plaisir. La seul chose qui pouvait atteindre Torgan, maintenant, s’était quelque chose par rapport à lui-même. Il lâcha le soldat qu’il tenait pour hottage un instant avant. Celui-ci tomba à la reverse. Ses pantalons étaient mouillé au niveau de l’entre jambe et ses bras tremblaient. Il lui fallu l’aide de deux de ses camarades pour se relevé et resté debout. Vladek ne lui porta plus attention et se tourna vers l’ancien général des armés elfiques.
- C’est parfait pour moi…
Vladek récupéra ses armes puis revint devant Torgan pour dire :
- Après tout, je ne suis venu que pour discuter.
Le ton de l’assassin était railleur sur sa deuxième phrase, bien que se ne put provoquer tant que sa le maître d’arme devant lui. Il rechargea rapidement son arbalète avant de la remettre à sa place. Il vérifia que son habit n’était pas endommagé puis rapporta son attention a son rival de premier rang.
- Pourquoi quittes-tu ta patrie?

Torgan ne savait plus quoi faire s’il retournerai en ville la mort l’attendait. Le soldat mourait de peur gisait au sol torgan n’en fit rien il sen foutait royalement le plus important ses qu’il soit en vie pour le protégée jusqu'au royaume du seigneur du mal il sourit mi amuser de la situation que voulait t’il si il voulait discuter de quoi pourrait t’il parler après tout il était rivaux de plus l’assassin le provoquait seulement de la manière qu’il lui parlait se ton de voie railleur ses sourire provocateur même si il n’était pas en position pour le faire se qui provoquait de plus en plus Torgan mais cette question le fit voyager réfléchir il revoyait tout . Tout ce que pourquoi il était partis, tous se pourquoi il avait luter tout se pourquoi il avait aimer puis regarda le sol décrocha avec délicatesse son ‘’badge de général ’’ le regarda une dernière fois et sourit le mis sur le vêtement de l’assassin et d’un vois non triste mais pas plus heureuse dit simplement.

-de tout façon … il est trop tars pour reculer … même si je le ferai ma mort serait assurer ou pratiquement. Je sais que tu ira la revoir vladeks donne si se badge ses tout se que je te demande.

Torgan souria tranquillement avant de lui tendre la main en signe de respect.

(hj: mon nom est Vladek, pas vladeks!)
Vladek ne bougea pas lorsque Govain s’avança pour poser son badge sur son habit. Il ne fit rien non plus lorsque celui-ci prit la parole et resta complètement immobile en voyant la main de l’elfe se lever. Il resta immobile un long moment, avant de sourire. Il attrapa le badge collé à son vêtement et le rangea dans sa poche. Il se retourna et s’éloigna un peu, sa sortir de la zone que les soldats de Torgan couvrait. Lorsqu’il fut à bonne distance (environs 2 mètres) il s’arrêta et se retourna brusquement.
- Ma foi, Torgan, je ne te reconnais plus, s’exclama-t-il. Tu me déçois beaucoup, tu sais ?
Vladek fit quelques pas vers celui qu’il s’était adressé, l’air songeur, puis s’arrêta de nouveau. Son regard était empreint de déception lorsqu’il le ramena sur le général. L’assassin avait ressorti le badge de sa poche et jouait avec dans ses mains, sans lui accorder tant d’attention qu’il n’en fallait pour l’échapper. Il prononça quelques mots d’une voix assuré :
- Si tu retourne l’à bas, alors personne ne te tuera. Premièrement parce que tu leur est trop précieux. Deuxièmement, parce que personne ne sait pourquoi tu es parti. Tu peu toujours mentir, dire que s’était une ballade de reconnaissance, que tu as combattu des bandits…
La voix de Vladek changea, pour retrouvé son ton humoristique satanique, lorsqu’il termina sa phrase :
- Après tout, tu est habitué de mentir à la reine, non ? Tu as bien prêté serment d’allégeance…
Son sourire décupla de grosseur et de moquerie. Vladek savait que ce qu’il s’apprêtait à faire était sans doute dangereux, mais il n’avait pas peur. Pousser le général à bout ne pourrait qu’être amusant. Il termina sa phrase avant de laisser tomber par terre le badge de Govain :
- Un de plus ne changera sans doute pas ce que la reine pense déjà de toi...

Torgan sourie aux première parole de vladek il n’en resta pas moi surpris qu’il sortit de la zone ou il aurait put l’abattre il le laissa s’exprimer une deuxième fois mais la troisième fut de tros il l’aurait tuer si il aurait voulu mais il préféra approcher près de lui a quelque pas de Lhomme sa bouche près de son oreille :

- en vérité tu avais raison depuis le début tu te souviens de cette frase que tu m’avais dite Si tu défends la reine, même au péril de ta vie, jusqu’à te sacrifier tout bonnement pour elle, tu n’y gagnera rien. Sa ne te fera que plus mal si tu te mets dans la tête quelle ressente même de l’amitié envers toi. Je suis rien pour elle tu avait raison sur se point elle na pas besoin de moi .

torgan sera le point jusqu’a se que le sang coule de sa main. Il se retourna d’une attitude très colérique et fit signe aux troupe de installer la nuit tombais et il avait besoins de repos les soldat commençait a installer le coucher du soleil magnifique eus pour effet de faire soupirer torgan qui se dirigea lentement sans réel but vers un arbre ou il se coucha sous la sème d’un arbre admirant le soleil savant que si vladek l’attaquait il ne sans sortirait pas il n’avait plus envie de l’écouter plus envie de ses querelle en fait ses le vide en lui qui lavait pousser a partir … ou était-ce que le découverte de se qu’il est réellement va savoir . le seigneur noir éclaircira ou le Tura . de toute façons la mort est plus belle que sa vie actuel .

Vladek eu un mouvement de recule en voyant Torgan arrivé, mais il le laissa tout de même approcher. Lorsque le général lui parla, il n’eu que le courage de retrouvé un de ces sourires qu’il faisait victorieusement à Torgan cette fois la, le jour ou il lui avait dit, mot pour mot, cette phrase, ce message. Puis il ne bougea plus.

Perdu dans ses pensés, il cessa presque de respiré. Mais, après tout, pourquoi s’acharnait-il tant à vouloir ramener ce vieux guerrier dans son antre? Peut-être se sentait-il mal, après tout, d’avoir sans doute été la cause de son dépars. Il se reprit bien vite et effaça cette image de sa tête. Non, il n’avait d’autre raison de l’en empêché… en fait, la seul raison est qu’il méprisait le maître de l’ombre. Et, en plus, les elfes de sexe féminin lui avait toujours fait tourner la tête. Surtout l’une d’entre elles… Mais bon, ce n’était pas le temps de revenir là-dessus. Le choix qu’a fait le générale (ou va faire, si ce n’est pas le cas) aura un gros impacte sur le vainqueur de la dernière guerre. Cela était évident.

Vladek, comme sortis de sa torpeur, serra ses armes et s’approcha du vieux général. En le voyant, certains soldats esquissèrent un mouvement, mais rien de plus. Vladek grimpa dans l’arbre et s’assis sur la branche au dessus de la tête de l’elfe, à environs 13 mètres du sol. Ne sachant plus quoi faire, et trouvant que Govain s’était ramollit avec le temps, il tenta une ultime attaque, un dernière assaut, en espérant que le général n’est pas banni de son cœur sa douce moitié.
- Tu sais pourquoi elle ne t’aime pas et ne pourra jamais t’aimé? Parce que tu fuis les défis. Tu fuis tout ce qui t’importe juste parce que t’a peur d’affronté la vérité en fasse…

Puis, avec une pointe de naïveté et habillé de son sourire, moqueur et cruel, il ajouta :
- Ah oui… j’oubliais.. Elle m’aime!

Vladek, d’un bon extraordinaire, atterri à quelques mètres de l’elfe et, devant le regard incrédule que lui envoyait le général, Vladek dit simplement :
- Va-lui demandé, si tu me crois pas!

Vladek se retourna et couru entre les arbres, dos au camp. Il savait qu’il distancerait facilement les soldats de Govain si celui-ci les envoyait à sa poursuite. Leurs armures, beaucoup plus lourde, et les empêchant de faire des gestes habille, et donc le poursuivre entre les roches et les racines était carrément impossible…

Torgan observait l’assassin monter dans l’arbre sans réel intérêt puis il le regarda et dit simplement que la reine ne pourrait jamais l’aimer car il fuit les défis et qu’il avait peur d’affronter la vérité en face cela le fit pratiquement rire car s’était l’opinons du humain se qui avait pas grande valeur car aux nombre d’année qu’il vive il ne savait pas se qu’est la réel peur ses qui te pousserait aux bord du gouffre celle qui te dit qu’il ni a plus d’espoirs . Un assassin fuis constamment se qu’il mérite et il osait lui dire cela Torgan afficha un sourie moqueur mais il eu vite fait de partir. Celui de Vladek était devenus cruel rien de bon. Sa voix moqueuse et cruel continua et sablais interminable. La phrase finit Torgan eu un visage vidé de toute ironie qu’il adressait au propos de l’assassin et devenue incrédule il murmura.

- non ces impossible tu…tu mens .

Sa voix troubler n’attenir pas l’humain sauter a quelque mètre de lui mais il eut aucun problème à deviner qu’il ne le croyait pas mais si il efforçait pour le cacher. vladek poursuivie de la même voix en lui disant daller la voir si il ne la croyait pas. Vladek partis entre les arbres … devait t’il risquer la prisons pour savoir cette vérités troublante. Ou devait-il courir plus vite décamper et partir plus loin et plus loin que sa connaissance continuer vers le seigneur noir. Il regarda un soldat toute en se levant et lui dit de veiller sur la troupe durant les deux prochaines journées et de les rejoindre à la prochaine ville sur horaire. il prie le badge que vladek avait laisser aux sol et se dit a lui-même * sa fera une raison moins bidons si j’ai a lui parler se qui j’espère n’arrivera pas* il couru vers la citer de la reine comme un voleur se cachant des garde et des paysans personne ne devait être au courant.