Et c'est reparti..

L’hiver tirait à sa fin. La neige était moins épaisse, le soleil plus étincelant, le ciel moins nuageux... Quelques fleurs se risquait hors du sol encore gelé alors qu’une dizaine d’oiseaux commençaient à se plaindre du manque de nourriture par de petits cries aigus à cause de leur retour trop tôt des iles chaudes qui borde le continent.

Vladek se faufilait entre les arbres, écrasant de la neige qui crissait sous son pois. Il ne s’enfonçait pas pourtant, la neige étant compacte et mouillé. De petits ruisseaux couraient ici et là à la rechercher de leur fin, sans pour autant débordé où il ne fallait pas. Le territoire des elfes étaient ainsi, chaque saison. Il était parfaitement équilibré et se régénérait toujours de la même façon, pour que tout aie sa place et que rien de meurt.

Vladek contourna un arbre dont la largeur ne cessait de l’étonné. Il revenait souvent à cette endroit, là où il avait compris, là où elle lui avait dit, bien malgré elle, qu’elle ne pourrait plus jamais se passé de lui. Malheureusement, il avait fait la même chose…

L’assassin blanc escalada habilement le tronc pour atteindre les branches, et s’installa sur l’une d’elle. Il respira un bon coup et ferma les yeux. Il se remémora ce moment, lorsqu’il parlait de tout et de rien avec la reine, lorsque les brigands les avaient encerclés, lorsqu’il s’était battu pour la protégé, lorsqu’il s’était sacrifié… Et puis, un autre souvenir fit surface ; celui lorsque torgan l’avait tiré en bas de sa branche !

Le printemps montait le bous de son née la vie revenait tranquillement. Le désert de neige qui couvrait le sol fondait peut a peut. Les plantes commençait a en ressortir les arbres commençai a avoir des bourgeons. En se petit matin la brume était dans les airs. Une fois de plus torgan était dans sa tente complètement geler dans sa bonne veille tente si on pouvait l’appeler comme sa malgré les trous dans la toile elle lui procurait le seul endroit ou il pouvait se réfugier.

Misérable et mal en point depuis sa dernière confrontation armer torgan sorti lentement de sa tente sa cape déchirer si on armure pleine de grafigne du a des lames et des flèche. Son bouclier était trouer part les lance et les combats une fois sorti la première chose qu’il fut de se diriger vers un endroit familier cette endroit ou tout avait commencer a basculer. L’endroit ou le générale elfique a commencer a sombrir pour devenir le chevalier haïrant détester des deux royaume de guerre.

Une fois arriver a cette arbres ou vladek était percher il senti une haine profonde mais en même temps une certaine admiration et peut-être même un sentiment d’amitié. Il sourit a peine et s’approcha de lui subtilement et sauta ,grâce a ses pouvoirs de magicien, se positionnant debout a coter de celui ci et dit de sa voix était calme et pourtant si froide

- Salut vladek ! Tu te rappelle de moi .

Il posa sa main sur le tronc son épée casser a l’extrémité en diaconal.

Trois ans… Trois ans s’était écoulés sans que l’assassin ne ressente cette énergie familière. Trois ans pendant lesquels il n’avait jamais songé à le revoir, trois ans pendant lesquels il l’avait oublié, petit a petit. Ses voyages dans les plaines tordues l’avaient changé. Il était revenu à ses origines, il s’était replongé dans sa grande noirceur. Il n’était plus un assassin, comme il l’avait été lorsqu’il avait rencontré la reine des Elfes. Il était l’assassin.

Donc, lorsque ce bon vieux chevalier tenta de s’approcher sans bruit, Vladek le senti venir. Lorsque celui-ci sauta à ses côtés, l’assassin se retint de lui flanqué un coup d’estoque. Après tout, l’énergie que dégageait ce guerrier lui était familière et l’intriguait. Enfin, lorsque Torgan s’adressa à lui, la seule chose qu’il fit fut de le regarder de ses yeux menaçant. Le voila comme sa belle reine, pensa-t-il, mais en moins convaincant. Il se releva et répondit simplement :

- En vérité, je n’ai jamais cessé de pensé a autre chose qu’un général non-loyal, Govain !

Torgan lui sourit vladek sétait relever et se qu’il lui avait dit le fit rire il ne penser que s’était a cause de lui si tout s’était chambouler et ses grâce a lui si il était devenue un monstre … il ne prit même pas le temps de chercher quesqu’il allait répondre a son vieux rival . tout s’était passer en un fragment de seconde il avait revue chacune de ses moment ou il l’avait vut leur combat et tout le reste bref dune voix toujours aussi froide .

- non loyal… hum… laisse moi réfléchir … ses pas toi qui disait quil fallait suivre ses propre idée et que servire une personne qui n’aurait même pas la moindre amitié envers toi …ses toi qui ma foutu dans se merdier … mais bon tu ma fait réaliser plus d’une chose alors je t’en veut pas …je vait juste te frapper un peut

torgan lui sourit a pleine dent puis se servi de ses nouveau pouvoir et un vent rapide et puissant sorti de la main de torgan puis après avoir déséquilibrer son rival il lui asema un cous de pied violent aux niveau du thorax . Il sauta alors aux sol espèrent que son coups lui est couper le souffle il s’approcha lentement de lui lorsque que celui ci était asser proche de vladek il sourit et dit :

-j’ai appris la magie … surprenant non … mais bon … connaître la magie a ses inconvénient je suis rechercher de partout … sauf que moi j’ai aucun allier...

- Pour tout te dire, ce n’est pas moi qui t’ai foutu dans ce merdier, comme tu dit. C’est toi qui interprète, moi je n’ai qu’affirmé.

Vladek ne s’attendait pas à le voir rire. Cette simple réaction de la part de son rival détruisit l’attitude que celui-ci employait. Il avait insisté sur le mot merdier pour souligner son ridicule dans la situation, puisque, si Torgan était dans un merdier, sa voulait dire que Vladek l’était aussi, et celui-ci n’appréciait pas cette idée. Enfin, il fut surprit par la bourrasque et faillit tomber de son perchoir. Le coup de pied que lui flanqua ensuite l’elfe le fit tomber, mais il ne s’écroula pas pour autant. D’une roulade, il se retrouva sur pieds en moins de deux. Torgan s’approcha de lui de quelque pas et lui dit quelque chose. Vladek ne l’écouta que très peu, encore sous le choc, puis son instinct de tueur prit le dessus. Il fit sortir ses deux lames cacher et attaqua de plusieurs attaques répétés a droite et a gauche, en haut et en bas, de façon a désorienté son adversaire. Lorsque celui-ci aie reculé jusqu'à être adossé a un arbre, il le plaqua violement contre celui-ci avant de reculé brusquement.

- En fait, c’est un peu ma vie de tous les jours. Tu verras, on s’habitue vite, même qu’on fini par aimé sa..

Une fois pres de lui il fut surpris qu’il se releva aussi vite et commença a l’attaquer a plusieurs reprise évidement deux lame contre une nuisait il devait être plus rapide pour se bloquer et éviter les lames . Évidemment après un moment il du reculer déstabiliser . Ses alors que a force de reculer il se fit plaquer violemment part vladek se qui le surprit . Il l’observa tranquillement sans rien dire son sourire avait disparue , il était fâcher même colérique. Mais il nu pas a se débattre pour la simple et la bonne raison que vladek s’était reculer par lui-même ses alors qu’il lui dit une parole… cette parole lui faisait mal aux oreille il dit simplement d’une voix froide et colérique .

-Verent ! je suis un elfe et je ne suis pas comme toi ! le plaisir de tuer ne sera jamais mien ! je suis pas un de ta race ! tu le sais très bien. Comment peut tu envisager que jaimerait sa un jour !

Il le fixa ses sourci froncer son regard sombre sa peau était pas comme avant elle était d’une couleur foncer (un peut comme un bronzage) depuis qu’il était un magicien sa peaux était devenue brun pale . il ne put retenir son désir de le plaquer plus longtemps et peut-être même de le blesser mais il se contenta de le fixer de se regard sombre, froid et colérique .

- Ce n’est pas de sa que je parle, mais merci de le rappelé.

Vladek rengaina ses lames dans leur compartiment secret et porta une main à son menton, l’air pensif. Il recula encore un peu pour pouvoir s’adossé à un arbre, puis baissa la tête pour cacher son visage dans l’ombre, comme il le faisait toujours, comme il le fera toujours. Il leva tout de même les yeux pour les posés sur l’elfe face a lui. L’assassin ne savait pas pourquoi, mais il ne ressentait plus cette animosité envers le général qu’il avait ressenti au par avant. Maintenant, il se sentait… comment dire, comme face a un vieil ami. Pour lui, se serait plus comme un vieux partenaire, un membre de sa guilde, ou un truc du genre. Ces idées passant, Vladek les analysa une seconde.

Le vent lui chatouilla le nez et le tira de ses pensés. Soudain, il se releva de sa position et avança rapidement vers l’autre face à lui. Il s’arrêta a deux mètres et, toujours souriant, se pencha un peu, pour murmuré :

- C’est fini, ta crise, là ?

Togan sourit regardant son rival il ne pu que éprouvrer un type de mépris face a sa réponse. Ses alors que vladek recula jusqu a se positionner sur un arbre assotter d’un aire pensif . évidemment son visage était baisser cachant les haut de son visage , se qui ne surpris pas torgan son regard et son sourire disparue torgan était songieux quesque son rival allait lui sortir cette fois une blague, une insulte , une phrase physolofique, un fait , ou simplement un sentiment non surement pas .ces alors que torgan se rapprocha son arme abîmer avait été ranger dans son étui trouer a quelque endroit. Vladeks sortis une phrase qui piqua aux vif torgan. S’approchant de lui a grande vitesse. Qui fut même surprenante pour lui même. Il sapprocha si près que une dizaines de centimètre les séparai. Il dit alors ,ses yeux devenue dune rouge sanguin a cause de la d’une voix colérique froide et pratiquement effrayante …

- ta pas compris pas vrai ! je suis plus fort que toi … et plus stragique .. La seul chose dans les quel tu me dépasse ses ton agiliter et peut-êtres ta ruse alors arrête de me rabaisser ses clair !!!

Vladek le regarda serré sa presqu’arme, puis il s’approcha drôlement vite de l’assassin. Par contre, celui-ci ne fit aucun mouvement. Il ne voyait pas l’intérêt, puisqu’il savait que ce n’était pas dans la nature de Torgan de frappé avant de crié ensuite. Donc, comme il s’en doutait, il cria d’abord. Là, se devait être le moment ou lui, en temps que fière assassin, il le mettait en colère au point de déclencher une bataille sanglante. Seulement, cette fois, l’assassin n’eu pas envie de tenté de le faire choqué. En fait, Vladek ignorait qu’est-ce qu’il voulait.

Donc, la première chose qu’il fit fut de s’éloigné de l’elfe, à la fois froid et impatient. Comment dire, à la fois Nessa et… Xorgoth ! La comparaison fit sourire l’assassin alors qu’il s’éloignait, dos au général, de l’endroit ou il se trouvait quelques secondes plus tôt. Après une dizaine de pas, il se retourna a demi, et seulement du haut du corps, pour dire au général, un sourire énigmatique sur les lèvres :

- Alors, tu viens, ou tu reste planté là, a regardé l’endroit où j’aurais pu te mettre la raclé de ta vie ?

Après un rire franc, Vladek reprit son chemin. Il ne savait pas si Torgan allait le suivre, et cela ne le dérangeait pas tant que sa en fait. Il voulait seulement se retrouvé là ou il voulait se retrouvé, et si Torgan y était, et bien sa n’allait être que plus intéressent. Après une vingtaine de minutes de marche, Vladek arriva à un petit étang étrangement propre. En fait, l’eau était claire et bleu, contrairement aux étangs ‘normaux’. Vladek se retourna pour voir si Torgan l’avait suivie après s’être placé de l’autre coté, et attendit une expression de celui-ci, s’il était la, bien sur.