À la taverne

Je suis assis au bar, dans la taverne .J’écoute les discutions. Ceux-ci parlent de leur ferme, ceux-là parlent de leur économie, et d’autre parlent des diplomates :

‘‘Et dire qu’il voulait seulement arrêter la guerre, ce bon vieux Elric!’’

‘‘L’autre veut bien arrêter la guerre, mais a quel prix! Tuer tout les elfes de cette cité, que j’ai entendu dire!’’

‘‘Moi, je crois que c’est correct! Les elfes, sa mérite la mort, que je te dis!’’

Mon réflexe fut instantané; les yeux de l’homme qui vient d’ouvrir la bouche fixent la lame qui se tien dans son ventre. L’instant d’après, son corps gis sans vie sur le sol.

‘‘ASSASSIN! TUER-LE!’’

Alors qu’ils s’élancent tous sur moi, je lui jette ma dague au cou. Après, tous devient flou. Les carreaux volent, les épées s’entrechoquent, les os se brisent. En quelques minutes de chaos, ils sont tous allongés au sol. Une odeur nauséabonde s’installe rapidement. Je récupère ma dague, puis je sors de la taverne. Déjà, les gardes se précipitent vers la bâtisse. En prenant soin d’essuyer le sang de ma cape, je continu ma route vers mon vieil ami.

Je sors de l'auberge et je voix qu'il y a de l'action à la taverne, les gardes rentre et sorte à la course et commence à arrèter des passants. Ils les jetent au sol violament et leur enfile des menottes, sa crie et se bouscule.

Je décide d'aller voir, personne ne m'arrète et je rentre dans la taverne,je retire mon capuchon, du sang et des cadavres gisent sur le sol, une bonne dizaine de personnes sont mort. J'examine un homme qui me semble familier. Je vois 3 carreaux qui lui transperce l'abdomen, j'en retire un et je le reconnais, c'est des carreaux de mon ancienne guilde. Je murmure:

-Sacrée Vladek, je te croyais mort... sa ne serait tarder.

Je sors de la taverne et replace mon capuchon pour masquer mon visage.

‘‘Tu voulais me voir, Vlad?’’

Mon petit singe saute sur la table et fixe l’homme devant moi.

‘‘Oui, Hadrian. C’est a propos d'Adeichis. J’ai cru entendre qu’il voulait tuer des elfes de notre citer pour rétablir la paix entre Gonno et Yuxe.’’

Le diplomate change de position sur sa chaise.

‘‘Il devient dangereux, ce vieux fou veux éliminer toute la race des Elfe. Je peux te demander quelque chose? ’’

‘‘Essayer toujours.’’

Hadrian se penche vers moi et me dit :

‘‘Pourrais-tu assassiner Adeichis? Avec lui de moins dans mes pattes, je m’assure presque la victoire. Et nous assurons la survie des Elfes.’’

‘‘Et que-ce que sa me rapporte?’’

‘‘2000 pièces de cuivre.’’

‘‘D’accord.’’

‘‘Mais je t’avertie, je ne pourrai pas te couvrir si tu manque ton coup.’’

‘‘Sa me va.’’

Je me lève et pars vers la porte. Avant de l'ouvrir, je dit a mon singe de me rejoindre. Il prend une poigner de noix et saute sur mon épaule. Je jette un dernier reguard a Hadrian, puit je marche vers la maison du diplomate.

J'aperçois Vladek qui sort d'une maison et je décide de l'épier, son sourire en coin prouve qu'il manigance quelque chose... La température est froide et il commence à mouiller, je siffle et mon corbeau arrive et s'installe sur mon épaule, je lui dit 3 mots en langue morte qui est interdit de parler dans toute les villes et mon corbeau suit Vladek, moi je le suis des yeux et je garde mes distances. Je murmure:

-Mais qu'est ce qu'il mijote...

La pluie tombe fort depuis une heure. J’escalade la maison de trois étages du diplomate. Toute les fenêtres son fermé par des volets. Au deuxième étage, j’en frappe un de mon coude. J’entre par le trou. Un servant se tien l’à, juste devant moi, a quelque mètre.

‘‘Merde’’

‘‘GARDE!!! GARDE!!! UN INTRUS!!’’

Sans réfléchir, je tir un carreau dans le coup de l’homme. Le café qu’il tenait sur son plateau se renverse sur le mur blanc. L’homme devant moi l’a lâché en tentant de se rendre à l’infirmerie. Il tombe quelques mètres plus loin. J’entant déjà les gardes qui s’emmènent. J’entre dans la chambre du diplomate. Il est assis sur son lit, il avale quelque chose. Sans perdre de temps, je lui perce un trou dans le coup. Il s’affaisse sur le sol. Une bague en or et une dizaine de pierre précieuse sorte du trou de son cou, je les ramasse et les glisse dans un petit sac en cuir. Je le cache dans une poche secrète.

‘‘IL EST L’À!’’

Ils sont au moins cinq. Je saute par la fenêtre. Lorsque je touche le sol, je suis encercler par une dizaine de garde, arbalète pointé vers moi. Je me retourne pour fuir. Une poigné de lance bloque la porte. Une voie derrière moi s’exclame :

‘‘Et bien et bien et bien, nous voilà en face du grand Vladek Verent. Je serai heureux de dire a mon roi que j’ai piégé l’un des trois plus grand assassin.’’

‘‘Comment sa, l’un des trois??’’

‘‘Parce que, il y a quelques années, nous avons retrouvé seulement deux hommes de votre guilde.’’

‘‘Vous êtes sur d’avoir cherché partout?’’

‘‘Oui. Sous les poutres, les murs, et tout le reste. Mais bon, trêve de bavarderie. Gardes, emmené moi ce tueur à Arbaru!’’

C’est en sortant de la cité que je vis le corbeau noir sur un toi d’une maison.

J'entends les garde qui crient:

-Le diplomate est mort! Vladek à tué le diplomate! Essayer de le réanimer!

Je comprend maintenant pourquoi il se promenait dans le coin, mais je ne sais pas quoi faire, je regarde le spectacle devant moi. Il reçoit quelque coups de poing et il le rentre dans une caravane et parte avec 20 cavaliers du roi! J'aimerais bien savoir ou il va, mais je ne peux risquer d'être démasquer, je baîlle et je rentre dans l'auberge, je lance une pièce d'or à l'aubergiste et je lui dit:

-Une chambre!

-Oui monsieur! Avez-vous entendu parler de l'attentat dans la maison du diplomate?

-Bonne nuit!

Je pars sur ces mots me coucher!

Plume d'Encre marchait à grand pas dans l'air frais de la soirée. Sa grande cape masquait son visage et sa silhouette, la rendant méconaissable. Elle n'aimait pas les grandes villes. Son malaise était accentué par l'agitation qui règnait dans la ville. Il semblerait qu'un ambassadeur soit mort. Ou quelqu'un dans le style. Ca fait longtemps qu'elle ne s'intéresse plus aux affaires des humains. Les rares fois où elle daigne réintégrer la civilisation sont souvent de très mauvais souvenirs pour ses cibles. Sa pie la ramena à la réalité en jacassant bruyement.

Chut ça va j'arrive **

Arrivant devant la maison de sa victime, elle étouffa un juron. Une foule de personnes se tenaient debout devant la porte. Les pleureuses se lamentaient déjà. Elle comprit rapidement qu'un assassin avait eu la mauvaise idée de s'en prendre au diplomate en ce jour. Elle espérait juste qu'il n'avait pas pris ce qu'elle venait chercher.
Pestant intérieurement, elle se faufila dans l'ombre du soleil déclinant à l'horizon. Jetant sa cape au sol, elle chercha une prise stable dans le mur. Après un effort d'une courte durée, elle arriva près d'une fenêtre dans l'ombre. Sortant une lame, elle ouvrit le volet. Sa pie se posa sur la balustrade tandis que son écureuil escalada le mur jusqu'à une grosse poutre qui reliait la pièce au couloir. Il courut jusqu'à la pièce voisine puis revint en annonçant que la voie était libre. Plume avança silencieusement dans la chambre de sa cible. Le corps reposait dans la pièce, entouré de gens aux visages défaits.

Bande d'hypocrites, pensa-t-elle. Il n'y en a pas un de sincère.

Elle réfléchit à une diversion efficace. Ayant une idée lumineuse, elle envoya son écureuil dans la pièce. Il fit tomber un vase pour que tout le monde le remarque. Dans un même mouvement, les têtes se tournèrent vers lui. On essaya de l'attraper. Mais il demeurait insaisissable. Tout le monde se jetait sur lui. La jeune femme en profita alors pour pénétrer dans la chambre et s'approcher du cadavre. Elle fouilla d'abord ses mains, puis autour de son cou. Ce qu'elle cherchait ne s'y trouvait pas.

Ca c'est un coup de l'assassin, ragea-t-elle. Si je le retrouve, il va le regretter.

Elle bondit par la fenêtre et atterit en douceur trois étages plus bas. Dans un sifflement aigu, elle rapella Shiver son oiseau et Murmur son écureuil.
Récupérant sa cape au passage, elle se dirigea vers l'auberge la plus proche.
Glissant une pièce d'or à l'aubergiste, elle demanda une chambre.

Mais bien sûr Ma Dame! répondit-il en essayant d'apercevoir son visage.

Vous êtes au courant de l'assassinat?

Evidement! s'exclama-t-il avec délice. Le meurtrier est Vladek.

Vladek? Merci. Bonne nuit.

Elle s'enferma dans sa chambre pour réfléchir.
Vladek Verent faisait partie d'une ancienne guilde d'assassin aujourd'hui dissoute. Pourtant elle mettrait sa main au feu qu'il restait encore des membres en vie.
Assassins et voleurs se connaissaient plutot bien. Leurs deux corporations étaient assez proches. Bien qu'elle ait quitté les hommes plusieurs années plus tôt, elle avait encore des relations.
Un nom lui revint instinctivement :Darkatos Startion.
Il avait été compagnon de Vladek. Les assassins restent toujours sur les lieux du crime. Darkatos était dans l'auberge. Elle en était presque certaine. Elle se leva d'un bond et se jeta dans les couloirs. Elle crocheta de nombreuses serrures avant de trouver celui qu'elle cherchait. Il dormait paisiblement. Elle s'approcha en silence et, lui passant une dague sur le cou, murmura froidement :

Où est Vladek Verent?


**Pour faciliter la compréhension des gens qui ne sont pas habitués à ce langage, Plume accepte de traduire les sifflements en langue normale.

Je me réveille en sursaut avec une lame au coup, je ne comprend pas mais je reconnais cette dague et cette main douce qui la tenais fermement. Je ne bouge pas et j'essaye de prendre mon arme sous mon oreiller, sans succès. Elle s'aperçoit de se que j'essaye de faire et me frappe violament dans la figure. Je saigne du nez et je lève mes bras dans mes airs pour qu'elle ne me frappe plus. Sa me fais très mal, je crois que mon nez est cassé. je pousse sa dague et lui dit:

- Qu'est ce que tu veux?

Je ne la voie pas et je me demande bien qui est cette mystérieuse personne, j'attends la réponse avec impatience.

Plume vit Darkatos s'agiter pour récupérer quelque chose sous son oreiller. Son arme à coup sur. Etant d'une humeur plutôt massacrante ce soir là, elle ne fit pas dans la dentelle et lui explosa le nez. Sa patience était à bout. Voyant qu'il avait décidé de coopérer, elle rapprocha son visage de son oreille et redemanda en appuyant bien sur chaque syllabe :

Où est Vladek Varent?

Elle plongea sa main sous sa tête et en sortit une arme qu'elle commença à étudier en ne quittant pas sa victime du coin de l'oeil. Elle émit un long sifflement. Shiver et Murmur rappliquèrent aussitôt.

Surveillez moi ce corbeau.

Elle revint alors vers Darkatos et le regarda sévèrement, attendant une réponse qui, si elle tardait trop, pourrait gravement endommagé le minois du voleur.

La douleur étais presque insoutenable, je baisse mes bras et tiens mon nez avec une de mes mains. Je sens sa mains sous mon oreiller, elle sort ma dague coup de poing. Elle l'examine, pendant se temps je jette un regard dans la pièce, mes draps sont plein de sang et j'en ai plein sur le corp. Elle s'approche de moi et me dit:

-Ou est Vladek Verent?

Je sens son souffle sur mon oreille, il est chaud et humide. Un flash dans ma tête se fait, je me rappelle aussitôt d'elle. C'est Plume d'Encre car les 2 seuls persnnes qui connaisse le nom de famille de Vladek c'était moi et Plume d'Encre car nous faisions partit de la même guilde avant. Je me souviens que j'avais toujours eu un faible pour elle mais je ne comprends pas pourquoi elle m'attaque comme sa et pourquoi elle est si entêté a savoir ou est Vladek. Je me dit que je penserai a sa plus tard, pour l'instant il faut que je me sorte de cette merde.

Elle dit autre chose que je ne suis pas capable de comprendre, la douleur acapare mon esprit. Je reprend sur moi et j'émets un sifflement presque inperceptible. Soudainement mon corbeau vole dans la pièce et cri. Le regard de Plume se détourne de moi et je prend un petit couteau que j'avais dans une de mes poches sur ma jambe (car je dors toujours habillé a moins d'être sur qu'il n'y es aucun danger) et je lui plante dans la cuisse, il rentre comme dans du beurre. Le sang gicle, elle lâche un cri perçant et stridant de douleur. Je saute par la fenêtre Èa côté de mon lit, la vitre se casse en mille éclats et mon corbeau sort pas la fenètre au même moment. Je tombe sur le sol, je viens de faire une chute du 2ième étage, je ressens une vive douleur au niveau de mon abdomen, j'ai des coupures partout dans le visage a cause des éclats de vitre, je me lève et court espérant qu'elle ne me pourchasse pas, je ne suis vraiment pas état de me battre. Très rapidement je me camoufle et me cache.

Toutes les questions que j'avais dans la chambre me trotte dans la tête et une chose que je ne comprends pas c'est ce qu'elle me veut a moi et a Vladek. J'aimerais la revoir et lui parler mais sa serait risquer, elle s'est grandement amélioré, moi et Vladek nous lui avons tout apris maintenant elle est vraiment puissante. Je n'ai pas peur mais j'ai horriblement mal au nez. Une chose est sur il faut que je trouve Vladek avant Plume...

Plume sentit que la situation avait tourné en entendant le bruissement d'ailes imperceptible. En effet, le corbeau avait blessé sa pie et croassait maintenant pour attirer son attention. Elle comprit le piège mais il était trop tard. Une douleur cuisante se répandait dans son corps depuis sa cuisse. Elle ne put retenir un cri de surprise et de souffrance.
Darkatos en profita pour sauter par la fenêtre. Elle se jeta sur la balustrade mais il avait déjà disparu. Elle boitilla alors jusqu'au lit sur lequel elle s'assit. Serrant les dents, elle arracha la lame qui lui faisait si mal. Le sang s'écoula de plus belle. Elle examina la blessure. Elle était profonde. Elle aurait besoin de soin. Seulement elle n'en avait ni le temps, ni l'envie.
Soudain, des écailles bleus apparurent, encerclant la plaie, puis la recouvrant, arretant l'hemorragie. Elle décida de ne pas s'attarder sur ce mystère et se mit à réfléchir. Vladek était dans la nature, emportant avec lui la bague qu'elle cherchait. Darkatos savait apparement où il était mais refusait de le lui dire et avait lui aussi disparu. En toute logique, Darkatos allait retrouver Vladek pour lui dire qu'elle même le recherchait. Et qu'elle ne faisait pas dans la dentelle.
Elle poussa un soupir.

J'aurais préféré que nos retrouvailles se déroulent différement, pensa-t-elle. Je regrette, Darkatos.

Se ressaisissant, elle sortit à grand pas malgré sa jambe blessée, récupéra ses affaires dans sa chambre et quitta l'auberge, se mettant à la recherche de Vladek.

Le lendemain matin, je me lève dès que le soleil pointe le bout de son nez et je pars à la recherche de Vladek, les gardes avaient dit qu'il l'emmenait à Abaru donc je pris la route d'un pas rapide. Il faisait chaud et j'avais soif et je ne me suis pas lavé depuis 2 mois et avec les blessures de la veille je ne sens pas bon et je suis tâché de sang un peu partout.

J'arrive sur le bord d'une rivière, sans même prendre le temps d'y penser je saute dans l'eau, me nettoie et me désaltère. Je me sens mieux et je continue ma route.

Le soleil se leva, lui indiquant qu'il était temps de se remettre au travail. Elle s'était accordée deux heures de repos dans une petite ruelle tranquille et s'apprêtait maintenant à repartir. La ville était déserte. Cependant un bruit attira son attention. Un homme déambulait seul dans les rues. Et au bruit de ses pas, elle reconnut la démarche de Darkatos. Ainsi elle le retrouvait aussi facilement. Elle se dit qu'elle avait beaucoup de chance. Il ne lui restait plus qu'à le filer assez discrètement pour qu'il ne la remarque pas. Et elle savait que ça n'allait pas être une mince affaire car l'assassin possédait des sens surdéveloppés. Elle décida de garder une certaine distance de sécurité. Au pire, elle enverrait Shiver faire un tour d'horizon.
Quand elle entendit le doux clapotis de l'eau et le plongeon sonore qui suivit, elle comprit que Darkatos s'octroyer un peu de détente dans une rivière. Ne pouvant se retenir, elle se dévêtit et entra silencieusement dans l'onde. Le courant massait ses muscles endoloris ainsi que sa plaie encore très sensible.
Bercée par la douceur des caresses, elle ne vit pas le temps passait et quand elle rouvrit les yeux, le soleil avait déjà bien entamé sa course. Se maudissant intérieurement, elle sortit de l'élément aqueux et se rhabilla. Soudain, une image lui revint en tête. Un villageois avait parlé d'une rencontre entre Vladek et une souveraine elfe. Elle devait rencontrer cette femme. Elle chercha un moyen de descendre le fleuve jusqu'à Yuxe. Une fragile embarcation lui proposa ses services en échange de quelques écus.
C'est ainsi qu'elle partit pour Yuxe.