Une visite surprise

Cela fait maintenant deux jours que j'ai quitter le château. Sans arme, je me sens démunie. Mais sa ne m'a pas empêcher de casser le coup d'un petit voleur. Je marche vers le palais, le soleil se couche. Tout le monde dans la rue on les yeux river sur moi. À mon passage, les enfants cesse de jouer. Les agriculteurs s’arrêtent pour me regarder passer. Les femmes murmure des mots a leur marie qui se place, près a se que je l'attaque. Mais cela ne me dérange pas. Je continu ma route.
La nuit est tomber maintenant depuis quelque heure, et je sens une présence qui me suis, m'espionne. Je n'ai pas peur, seulement je m'inquiète. Car je porte avec moi un objet qui était convoité par l'un des membres de ma guilde. Je sens le danger roder...

Plume était arrivée à Hasumag quelques heures plus tôt. La ville paraissait agitée. S'approchant d'un villageois, elle demanda la cause de cette tension. Il lui expliqua qu'un homme bizarre rodait dans les rues. Une description qui convenait particulièrement bien à Vladek. Elle se dirigea dans la direction indiquée. L'assassin était là. Il jetait des coups d'oeil alentour, comme s'il avait senti qu'elle l'avait repéré. Ce qui, à la réflexion, ne serait pas très étonnant. Elle accéléra le pas jusqu'à se trouver presque derrière lui, puis tourna dans une ruelle adjacente afin de faire un détour pour revenir face à lui. Quand elle ressortit sur la rue principale, elle tourna vers lui et s'arrêta. Elle portait sa grande cape noire qui la dissimulait entièrement.

Vladek, quel plaisir de te revoir. J'aimerais te parler. En privé, ajouta-t-elle en avisant les regards curieux qui se tournaient vers eux.

Mon premier geste fut de presser le mécanisme a l'intérieur de ma main qui fait sortir ma dague coup de poing. Je me souviens alors que mes armes se trouvent au château. Maudissant ma confiance en la reine, je m'éloigne vers une ruelle proche, Plume me suis. Elle ne semble pas d'une humeur malsaine, mais je me tien tout de même sur mes gardes.

-Tu viens pour la bague, si je ne me trompe pas?

Ma voit a un teint dur, menaçant et froid. Comme d'habitude. Elle ne semble pas surprise que je sache le motif de sa poursuite, Mais sans arme ou piège, je ne peux rien contre elle...

Plume le suivis dans une ruelle. Il ne semblait pas content de la voir. Et pour cause. Il ne fait jamais plaisir à quelqu'un de se voir enlever le fruit de son travail. Elle ne fut pas surprise qu'il sache ce qu'elle voulait. Elle enleva son capuchon, dévoilant son visage. Elle avait beaucoup changé depuis qu'elle avait quitté la guilde. Elle avait muri. Elle lui répondit avec un sourire très peu avenant :

En effet. Cependant j'espère ne pas avoir à me battre pour la récupérer. Je n'ai pas envie d'affronter un de mes collègues. Donne moi cette bague immédiatement et il ne t'arrivera rien. Surtout qu'il me semble que la reine a eu la bonne idée de te désarmer, sinon j'aurais déjà pu voir l'éclat de ta lame.

Et elle sortit elle même sa propre dague. Elle tendit sa main libre, attendant que Vladek s'exécute.

Vladek était maintenant près du mur. Une épée traînait derrière lui. Il semblait qu'il avait une chance de s'en sortir, mais pas seul. Faire appel a son singe était absurde, il avait surtout besoin de temps...

-Tu sais, Plume, l'incident de la caserne aurait pus se terminer correctement, seulement tu répugnes, il me semble, le fait de tuer. Mais la pire de tes faiblesses est que tu ne surveilles pas tes arrière, ni celle de tes ennemies...

En prononçant c'est mot, il sorti de son dos l'épée salie. Il savait que l'épée ne lui permettrait pas de battre Plume, ni même de la désarmer .Se qu'il espérait, c'était de créé un bruit de combat qui alerterait les paysans. Ce faisant, il pourrait s’éclipsé et retourné au château prendre ses arme...

En entendant ce souvenir douloureux, Plume relacha un moment son attention. Vladek disait vrai. Elle avait toujours su qu'elle ne pouvait enlever de vies. Elle n'avait en aucun cas le droit de décider de qui devait mourir ou non. La vie était bien trop précieuse pour qu'on la vole ainsi.
Elle recula avec surprise quand Vladek sortit l'épée. Celle-ci semblait rouillée et mal équilibrée.

Que comptes tu faire avec cette antiquité? demanda-t-elle avec un sourire moqueur.

Elle tira une autre lame de la lanière autour de sa cuisse et se mit en garde, prête à frapper. L'assassin savait qu'elle ne le tuerait pas, tandis que lui ne s'embêterait pas. C'était un handicap pour la jeune voleuse qui malgré tout ne montra pas son appréhension et sa tension.

Nessa les écoutait toujours, et entendit le bruit de l'épée lorsque Vladek pris celle qui traînait par terre, mais juste avec le son, Nessa savait qu,il ne s'agissait pas d'une belle épée et plutôt d,une épée qui semblait rouiller et tout... Le son était différent. Puis les écoutant discuter, Nessa pus comprendre qu'ils se connaissait assez bien, et aussi qu'il s'était passer un incident, mais bon. Avant d'arriver trop tard, elle roula les yeux, regarda si quelqu'un la suivait dans le quartier et voyant personne, elle pris la ruelle et s'approcha des deux autre, sans faire de bruits, la main poser sur son épée cachée dans sa cape. Elle avait donc les bras croisé qui ne laissait point supçonner qu'elle avait son arme, comme d'habitude. Ils ignoraient sa force, si même elle savait réèlement se battre. Et oui, elle était une très forte guérrière...

Rendu à une bonne distance, elle décida de se faire remarquer. Sa voix était froide et calme comme à l'habitude, mais s'était plus ressemblant à la voix de lorsqu'elle avait été avec Plume quand elle avait changer sa voix pour dire ''Elle délire'' ou un truc du genre que sa voix normal, donc Vladek ne serait pas supposer la reconnaître à cause que son capuchon couvrait entièrement son visage. La seul exeption était si il avait remarquer son regard au reflet mauve. Seul le reflet mauve de ses yeux brillait au travers de son capuchon...

-Bonjour vous deux...

Seulement une salutation. Que dire d'autre ? Il n'y avait pas grand chose à rajouter en effet. Elle tenait juste à attirer leur attention, mais elle restait prudente, écoutant les bruits environnants, derrière comme devant, ainsi que les côtés. Son côté toujours attentif à tout les bruit quoi...

Plume attendait la réaction de Vladek. Elle entendit soudain une voix qu'elle connaissait. Si elle se retournait, elle perdrait de vue son adversaire. D'un autre côté celle qui était derrière elle risquait d'être une très bonne guerrière. Il n'était pas bon du tout pour elle d'être prise en sandwich. Elle tourna la tête doucement, gardant l'assassin dans son champ de vision. C'était bien ce qu'il lui semblait. Elle était là, débout dans la ruelle, entièrement cachée par sa cape.
La voleuse était énervée et un peu contrariée. Qu'est-ce que cette Nessa venait faire ici? Elle ne pouvait donc pas la laisser tranquille! Elle était probablement là pour protéger Vladek ou quelque chose comme ça. Mais elle n'allait pas le tuer! Juste le frapper un peu si il fallait.
Elle poussa un soupir des plus impolis puis déclara d'un ton glacial :

Que nous vaut l'honneur de ta visite?

Elle espérait faire passer à Nessa qu'elle n'était pas du tout la bienvenue et que cette affaire était entre elle et Vladek.

La vue de cette paysanne dans ses affaires le fait sourire... Il doit l'avoir vue quelque par, car elle semble le reconnaître et son apparence lui est familière. Il Voie l'opportunité de fuir, mais ne s'esquive pas. Il ne fuit jamais le danger, sauf en ça de torture. Car il répugne la douleur. Il ne répondit pas a Plume, ne portant même plus son attention sur elle. La nouvelle venue, car sa voie et ses courbes en témoignait, était une femme. D'un air occuper, il lui demanda:

-Oui, que-ce que tu fait là?

Coamenel était debout, les regardant qui ne semblait pas être content de sa visite. Un sourire perça son visage. Un sourire froid et léger qui ne se laissait pas voir. Puis elle l'effaça, regardant les deux autre encore. Vladek ne l'avait tout bonnement pas reconnu. La reine décroisa les bras et ôta son capuchon délicatement, sans quitter de vue les deux autre. En ôtant son capuchon, elle avait dit de sa voix normal... froide calme avec quelque peut de douceur...

-Je ne veux que savoir ce que vaut cette bague pour que vous vouliez vous battre pour ?

Oui, Nessa était honnête et Vladek l'avait été avec elle dans le château. Mais elle ignorait si il le resterait et si cet Plume l'avait été. Elle ne leur faisait pas grande confiance mais ne le montrait pas...

Plume regarda Vladek avec amusement quand elle se rendit compte qu'il n'avait pas reconnu la reine. Il l'envoyé balader alors qu'elle venait le sauver. La situation était plutôt comique. Elle se doutait que Nessa ne tarderait pas à se découvrir et en effet elle enleva le capuchon en demandant la valeur réelle de la bague.
Voila une question qui était pour le moins embarassante, surtout quand on n'y connaissait pas la question. Elle chercha ce qu'elle pouvait lui dire puis décida de jouer franc jeu. Après tout, elle n'avait pas grand chose à perdre...

Pour moi, la bague à la valeur de 200 pièces d'or, prix que m'a payé l'homme qui m'a demandé de la lui rapporter. Mais aussi le prix de la mort si je rentre bredouille.

Elle n'avait pas dit cela pour les attendrir ou quoi que ce soit. Elle avait prononcé tout cela d'une voix calme. Si elle devait mourir, elle mourrait. Mais en faisant tout ce qu'elle avait pu faire pour éviter cette fin auparavant.

Vladek souris. Il ne savait pas se que la reine faisait en dehors du château, mais il ne pouvait lui faire confiance. Si il allait a l'extrême, elle a fait un pacte avec Plume, lui enlevant ses armes et dictant a Plume ou me trouver. De l'autre extrême, lorsqu'il est sortie du château, la reine le trouvait tellement beau quelle ne pu résister a le suivre et elle allait le protégé. Tout cela n'avait plus de sense, il décida donc de croire qu'elle était neutre a son égard.

-Tu ne connais donc pas sa valeur réelle, Plume. Elle vaux 1100 pièces d'or, car il y a un métal a l'intérieur qui permet de cicatriser très rapidement.

Attendant sa réaction, il se dit que la soirée serait longue...

Plume regarda Vladek avec impatience. Elle était déjà lasse de cette conversation. Resserrant ses mains sur les dagues, elle tourna la tête vers l'assassin quand il lui parla de la valeur de la bague.

Il semblerait pourtant que malgré ses capacités cicatrisantes, elle n'ait pas servi à grand chose à son ancien propriétaire...

Et là, elle en eut assez. Vraiment assez. Elle attrapa sa dague par la pointe avant de la lancer droit sur Vladek. Il n'eut pas le temps de réagir qu'elle s'était planté dans le mur derrière lui, frolant son oreille de très près.

Et si on passait aux choses sérieuses maintenant. Ce n'est pas que vos présences m'importunent mais... si en fait elles m'importunent.

Elle n'avait plus aucune patience. Maintenant, elle frapperait. Et quiconque essaierai de l'empêcher de mettre la main sur la bague irait faire un séjour à l'hôpital ou l'enverrai lui même au cimetière.

Vladek ne s'attendait pas a se que Plume réagisse comme sa. Son sourire disparu au moment où la dague s'enfonçait dans le mure pourrie. Il lâcha son épée, empoigna la dague et la lança au pied de Plume. Il dit ensuite...

-J'ai un marcher a te faire. Je ne sais pas qui te la demande, cette bague, mais je ne te laisserai jamais la prendre de main forte. Tu doit craindre ton patrons, sache que c'est pour cela que je travail sans patron. Je te propose ceci: nous nous occupons de ton patron, tu garde tout se qu'il possède, je garde la bague et nous cessions toute agressivité l'un envers l'autre, car, en d'autre circonstance, j'au rait apprécié travailler a tes coté...

Plume vit le sourire de Vladek disparaitre. Furieux, il ramassa la dague et la jeta à ses pieds. Si il commençait à s'énerver, il ferait des erreurs. Elle se redressait pour se préparer à frapper quand il l'interrompit en lui proposant un marché. Assassiner mon patron? Garder tout ce qu'il avait? Plutôt intéressant.

Ca me semble équitable. Mais qui me dit que tu tiendras parole? Pour une impartialité totale, je propose que Nessa ici présente garde la bague le temps que tu assassines mon patron et que je vole tout ce qu'il a avant que tu viennes récupérer la bague. Ma décision est sans appel.

Cela pouvait devenir intéressant très rapidement si l'on commençait à changer les règles du jeu. Attendant la réponse de Vladek, elle détaillait la reine du coin de l'oeil. Celle-ci semblait paisible et ne trahissait aucune émotion.

Cela lui convenait. Même si il aurait respecter ce qu'il disait, car il admirait le travaille de Plume pour le retrouver. oute foie, une chose lui échapait: la marque voleur sur le bras. Il aurait tout le temps d'en parlé une foie la mort de l'homme.

-Maintenant que c'est réglé, dit il en s'aprochant de la reine, puije r'avoir mes bien, mille? Son ton ne laissais pas de choix. Il leva le bras vers Nessa, la bague a l'intérieure de la main...

Nessa les regardait, sans rien montrer en elle. Elle était témoin d,une entente entre deux... hors-la-loi. en fait, elle en faisait partit de leur entente, devant garder la bague. Mais sa ne lui faisait rien. Elle regarda Vladek et elle pris la bague et lui dit

-Venez au château, je te remetterai tes armes Vladek et Si vous avez faim, je vous ferai venir à manger... Mais...

Elle regarda Plume en particulier

-Pas de vole !

Puis elle remit son capuchon... regarda les deux autres et recula d'un pas. Elle ne leur tournait pas dos et attendait leur confirmation...

Vladek avait accepté leur accord. C'était parfait. Et la reine ne souleva aucune objection. Plume appréciait beaucoup, bien qu'elle ne le dirai jamais, même sous la torture, le fait de travailler avec Vladek. Elle retrouvait un peu de son innocence d'enfant et ses plus beaux souvenirs.
L'assassin donna les bagues à Nessa et réclama ses armes. La souveraine les invita au château pour manger. Plume avait hâte de découvrir le palais. Quand Coamenel rajouta "pas de vol", la jeune voleuse sourit d'un air innocent.

Je ne dérobe rien chez mes hôtes. Que chez les gens chez lesquels j'entre par effraction.

Puis elle avança en direction de la fin de la ruelle, se retourna et leur dit avec entrain :

Et alors? On y va ou on attend qu'il neige?