Une entrer remarquée

Après qu'elle que heure de marche, il arriva sur les cote d'Yrion.Apenne fut il arrivé que les gardes protêgeant la porte l intercepta.Il mit peut de temp a daigainer son épé et trancher la gorge du premier tout en tracant un arc avec son autre épé afin de désarmer le second opposant.C' est deux adversaire hors de combat, il entra dans cette ville qui lui était étrangère.Il repèera une taverne ou il pourrait se désaltéré et se reposé.Et peut etre, qui sait, faire des rencontres intérescente.

Vladek était en train de laver sa cape sur la plage lorsqu’il entendit un boucan venant de la porte d’entré du village. Il remit sa cape et son capuchon et se dirigea avec Brume, son cheval, vers l’entré du village. Une trentaine de soldat elfe entraient, sortaient, attrapaient des paysans. Il marcha vers la scène et fut intercepté par deux soldats. Ils lui demandèrent ses papiers d’identifications. Pour toute réponse, il les repoussa et continua sa route. Il vit un garde, mort, gisant dans une mare de sang. Un autre, inconscient. Il entendit le son caractéristique d’un sabre quittant son fourreau. En se retournant, il vit les deux soldats en position de combat. Il se pencha vers l’oreille de son cheval et murmura quelques mots. Puis, sans se soucier de ses blessures, il se retourna et envoya un carreau transpercé la joue du premier guerrier. Aussitôt, autour de lui, tout les soldats, tirèrent sabres et lames. Comprenant sa mauvaise posture, il couru vers la rue et se mit à zigzaguer entre les marcher et les maisons. Après une dizaine de minute, il s’arrêta et marcha normalement. Il se dirigea vers une taverne. En entrant, il alla s’asseoir au bar, a coté d’un drow.

-Tu as de la chance de ne pas avoir encore toute la ville sur le dos en te présentant ici.

Il pris une gorgé dans la bière qui lui était servie et attendit la réponse de son interlocuteur…

Lorsque qu’ il vit ce curieux homme s’ asseoir près de lui, il cacha son visage pour ne pas se faire repéré par les gardes qui patrouillaient maintenant dans la ville.Lorsque l’ homme s’ adressa a lui, il répondit:


- Il faudra vous y faire parce que c' est ma façons de procédé et si vous ne l' accepté pas se n’ est pas mon problème.Je m'appel Drizzt, Drizzt Zargos, et vous?

En disant cela il s’ était tourné vers son interlocuteur sans pour autant révélé son visage.

Vladek sourit en apprenant que le combat a l’entré d’Yrion était de sa faute, donc c’était de sa faute qu’il est perdu sa monture. Mais il ne s’inquiétait pas pour sa, il la récupérerait.
-Si vous ne connaissez pas mon nom, c’est que vous n’êtes pas de cette contré! Et si votre but était de passé inaperçu, sachez que c’est rater, drow!

Il insista sur ce dernier mot, un sourire provocateur sur les lèvres. Les quelques gens qui écoutait la conversation s’éloignèrent quelque peu.

-En vous regardant, je dirais que vous êtes un assassin. Mais en sachant que vous avez tué des elfes pour seulement entrer dans une ville, j’opte pour un Chevalier Noir. Est-ce que j’ai tort?

Il vérifia si sa cape était sèche, puis sirota sa bière en regardant deux jeune elfes assises au fond de la taverne.

Drizzt croyait que ce personnage inoffensive comme s'est victime précédente,mais il se trompait, cette l,homme risquait de le faire repéré en criant littéralement sa race ainsi. Les drow n, était pas très bien vue dans cette société d'elfe et si il se faisait repéré les gardes risquaient de lui faire la peau. les gardes entrait par dizaine en disant qu'ils cherchaient un drow ayant commit le délit de tuer 2 gardes. Drizz regarda l'homme qui connaissait maintenant son identité et le supplia du regard pour qu'il ne révèle pas son identité aux gardes. Puis se levas et se dirigea vers la sortie en cachant son visage a l' aide de sa cape.Il était presque rendu a la sorti,l' aire arrivais enfin a son visage,mais une main ce posa sur sa poitrine lui bloquant l' accès a sa destination, lui disant <<Personne ne sort avant la fouille des lieux!>> lui imposa le garde.D' un geste vif et rapide, drizzt lui trancha le bras qui se tenait devant lui.Le sang giclait de la plaie et éclaboussa la cape de drizzt tenta de s' enfuir mais une bonne vingtaine de mains l' agrippa et le ramena vers l' arrière. Tout les gardes se ruère sur lui et lui enchaîna les mains a l' arrière du dos. Et bien vite il fut emmené au cachot de ce village.Dans ce cachot il espéra que quelqu'un vienne le libéré.Mais a quoi pense t-il, personne ne vas le libéré il n'a pas vraiment d' amis puisqu'il se balade de royaume en royaume sans être suivi et tout se qu'il a fait dans ce royaume c'est de tuer 1 garde et en avoir blessé 2.Alors qui voudrait le sauver...Quoi que...

Vladek regarda le drow se débattre avec un sourire énigmatique. Lorsque les gardes le maitrisèrent et l’emmenèrent à l’extérieur, Vladek se leva et marcha vers le soldat blessé. Celui-ci avait perdu conscience, Vladek demanda à l’elfe où on emmenait l’accuser. Il répondit que six combattants bien entrainé allaient le porté aux prisons de la ville. Vladek marcha vers la porte, et un cri retenti derrière lui. Se devait être le barman, car Vladek n’avait pas encore payé. Il lança quelques pièces par dessus son épaule et sorti de la taverne par la porte encore ouverte. Il se dit qu’il allait aider le jeune impétueux, mais pas tout de suite. Trop près du bar alerterait les autres soldats. Trop près des donjons avertirait les gardes du château. Il grimpa sur un toit et suivie le petit cortège en sautant de maison en maison. Lorsqu’ils débouchèrent dans une rue quasiment déserte, Vladek décida de passé à l’action…
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Korkanim Blerose était l’un des meilleurs guerriers de tout Yrion. Il avait été nommé comandant officiel depuis peu et en était fière. Ce matin, Korkanim mit son équipement. Sa femme se précipita pour lui dire bonne journée avec son fils de 13 ans dans les bras. Malamis était jeune et fort, il ferait un très bon guerrier dans les années a venir…. Salay était belle, tellement belle, son marie remerciait les dieux chaque jour de lui avoir affère cette précieuse amour. Lorsqu’il arriva au poste de garde, a l’entré sud, il vit un nombre exubérant de soldats. En s’approchant, il comprit qu’un homme avait tué l’un de ses combattants. Il ordonna qu’on fouille la ville et la région et qu’on interroge les personnes louches. En très peu de temps, on retrouva l’assassin dans une taverne. Il essaya de s’enfuir, mais les soldats le maitrisèrent bien vite. Il demanda à ses plus vaillants officiers de le suivre. Quelque rue plus loin, il entendit l’un de ses guerriers lâcher un gémissement avant de s’affaisser. Il ordonna au cortège de s’arrêter et de sortir les armes de leur fourreau…
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Vladek s’attaqua au dernier du cortège en le frappant pour qu’il perde cogniscience, puis, en un éclair, il retourna sur un toit à l’abri des regards. Les gardes regardait partout, sa amusa quelque peu. Il s’élança et atterri a quelque mètres du guerrier le plus proche. Quelques parades furent échangées, puis, dans un coup de malice, Vladek fit tomber à terre son adversaire. Les autres se tournèrent vers lui et, en regagnant une ruelle, Vladek fut suivit par deux guerriers.
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Korkanim ne compris pas tout de suite que son attrayant avait de l’expérience. Après ses deux officiers tombers, il envoya deux autres à sa poursuite. Des bruit parvinrent de la ruelle, de combat, puis l’homme en blanc sorti de sa cachète. À bout de nerf, il commanda a son partenaire restant d’allé tuer ce fumier. À peine eu-t-il commencer sa course qu’il s’écroula, un carreau dans le genou droit. Korkanim en eu ras-le-bol et chargea son attaquant blessé, une coupure profonde dans l’estomac et quelque égratignure aux bras…
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Vladek réussi avec peine à esquiver et parer les coups du soldat furieux. Aussi, il le mit hors combat après une dizaine de minutes. Il arracha les clés attachées à la taille du comandant et libéra le drow en disant :
- Nous ne pourrons plus rester ici, avec tous ces soldats blessés. Je vais reprendre on cheval et je par vers Sart-en-Im. Si tu veux m’accompagner, tu es le bienvenu.

C'est sur ces mots qu'il parti vers les écurie...