A la recherche dallier...

Six jours et autant de nuits. La troupe de Tordek arrivait au pied d’une magistrale porte qui donne accès au royaume ou ère l’ombre. Ils étaient en tout une dizaine. Les soldats étaient cachés derrière des roche, alors que Tordek, son diplomate et son conseiller a ses coté, s’arrêtaient devant un groupe d’orque. L’un d’eu, qui s’emblait commendé la petite troupe, s’avança et dit :

- Par quel chemin nous viennent les nains des Profondeurs?

Une odeur de pourriture assaillit les narines des trois nains. L’érudit de la géographie, des langues et des races, qui suivait Tordek, se boucha le nez.

- Par celui qui conduira les Elfes a leur perte, répondit Tordek du tac au tac. Je viens discuter avec ton maître, le roi de Kendrom.

Lorsque le soldat orque les conduisit au palais, un autre alla quérir le seigneur du Mal.

(vraiment vraiment désolé, j'avais commencé une réponse que je n'ai jamais pu finir)

Le Seigneur noir observait, du haut de sa tour, l'horizon. Il était assis sur son trône, le menton dans un main, l'autre main pianotant sur le manche. En fait, il réfléchissait, ou bien semblait réfléchir. Son regard était devenu totalement noir et opaque, et il ne respirait plus, vraiment plus. Par l'ouverture menant à l'extérieur, on voyait très loin un filet de ciel bleu... et en s'approchant du pays de Dargor, c'était noir et très sombre, le Maître était contrarié.
Il fut dérangé par un autre de ces orcs, qui entra dans la pièce et vint s'adresser à son oreille. Sa voix caverneuse et saccadée fit fronçer les sourcils à Xorgoth, il détestait cette voix, bien que la sienne n'en était pas plus rassurante. Ses yeux reprirent une allure qui était "normale" pour lui, bien que spéciale pour les autres, et son souffle reprit, comme s'il avait rescucité.

Il se leva et sortit de la pièce, encore un invité, les gens ne comprenaient pas que c'est lui qui allait se chercher des alliés, pas le contraire... Bah, on ne s'en plaint pas finalement, si on a des mensonges de moins à faire, c'est toujours mieux...

Il traversa Khrendom en entier, pour finalement se retrouver dans la salle principale. Un nain assez imposant s'y trouvait, l'air sévère, et le Seigneur Noir se plaça face à lui.... Ça aurait pu être drôle comme scène de voir un nain face à ce géant, mais Xorgoth ne riait pas pour de telles infantilités.

-Vous devez être bien courageux pour traverser ainsi mes noires terres sans mon conscentement.

Tordek ne s’offusqua pas de cette réplique. Il connaissait la réputation du seigneur de Kendrom. Avec respect, il s’inclina et fit signe a ses disciples d’en faire autant. Lorsqu’il se releva, il dit d’une voit forte :

-Je viens quérir de l’aide de mes voisins. La puissance des nains a beaucoup diminué depuis la séparation des clans. A ma puissance actuelle, je ne peux envahir les elfes et les détruire a tout jamais.

Après un long silence, il continua :

-Avec nos deux puissances réunies, nous pourrions régner sur tout l’ange-Gardien. Bien sur, je vous laisserais la plus grande parti. Je ne garderais que les montagnes et les terres des elfes.

Un autre silence, plus court celui-ci… Tordek, après un soupir, reprit :

-Je sais qu’en venant ici sans invitation, a votre refut, je ne donne pas chère de ma peau. Mais je sais aussi qu’il serait stupide de laisser passer une telle offre.

Avec un sourire malicieux, il s’éloigna de quelque pas en attendant la réponse du maitre du mal…

Xorgoth fit taire les orcs et gobelins qui s'agitaient autour d'eux, grouillants d'envie d'une petit bataille. Il les immobilisa d'un signe de main, et ils obéirent sans broncher. Le Maître Noir écouta tout ce que le Nain avait à dire, avec intérêt, mais sans s'enthousiasmer. Il ne dit rien, jusqu'à ce que celui-ci eut terminé son offre, il prit une grande respiration sifflante, et se craqua le cou.

C'était plutôt intéressant, avoir des alliés de plus, mais tout semblait trop facile. Pourquoi était-il venu à lui? Daegnor prit plusieus minutes avant de lui répondre.

-Effectivement, une aide venant de votre peuple pourrait améliorer mon cas, mais n'allez pas croire que j'accepte de l'aide aussi facilement. Après tout, je ne pourrai jamais concquérir l'Ange-Gardien avec simplement votre aide, j'ai besoin de plus. Parcontre, ça pourrait faire une excellent coup de main...

Il n'accepta pas vraimtn l'offre, prit une autre temps de silence, et continua.

-Qu'est-ce qui vous amène à mes portes? Pourquoi voulez-vous vous rallier à moi?

Un sourire malicieux vint ridé le visage du guerrier nain. Avait-il fait tout ce chemin depuis les montagnes pour se faire refuser une alliance plutôt alléchante ? Non. I l se releva de toute sa hauteur, bien que se ne fut pas de très haut, avant de lancer :

-Seigneur, je suis venu ici parce que avec votre puissance a mes coté, je pourrait écrasé les races impures et les traîtres de ma race. Et il serait stupide de me mettre a dos le plus puissant seigneur de tout l’Ange Gardien.

Toujours avec son sourire, il regarda comment se portait sa troupe. Plusieurs semblaient désintéressé pars leur conversation, d’autres étaient carrément au repos. Aucun n’étaient terrifier, ou ressentaient la plus infime peur a l’idées que le maître de l’ombre ne les achèvent. Fière de ses homme, Tordek rapporta son attention sur Xorgoth…

Xorgoth observa la nain avec attention. Malgré qu'ils étaient petits, leur carrure devait donner une grande force à leurs coups de haches et d'épée, et ils devaient résister aussi à la douleur. Toutefois, c'était des constatations qu'il connaissait déjà depuis longtemps, et ce n'était certes pas la vue d'un nain quelconque qui le convaincrait.

Son doute n'était tout de mêem pas relâché, il aurait besoin de meilleurs arguments et de temps pour réfléchir. C'était étrange, il n'avais jamais eu d'aide ouverte. Il avait toujours eu besoin d'aller la chercher lui même, par la force. De plus, les nains étaient reculés dans leurs montagnes depuis des centenaires, pourquoi maintenant?

-Et dites-moi pourquoi je devrais avoir confiance en vous? Vous avez toujours vécu dans vos montagnes sans que personne ne viennent vous y déranger, pas même les elfes. Pourquoi ressentez-vous ce besoin urgent d'exterminer tous mes ennemis?

Le Seigneur Noir jeta un bref regard aux gardes du roi nain. Il siffla de stupéfaction, tout en évitant que Tordek ne le remarquât. Jamais il n'aurait toléré que ses troupes se mettent à son aise dans un demeure qui n'est pas la sienne (bien qu'il considère le monde entier comme le sien). Un tel relâchement ne faisait pas bonne impression du tout, lorsqu'on est en mission, il faut garder la tête haute et le dos droit.

Tordek soupira. Ce ne sera pas facile de convaicre le maître de l’ombre de se joindre a son étendard. Ses conseillés avaient flairés une ordre silencieuse et s’étaient remit au garde-à-vous.

-Je n’ai pas de temps à perdre à attendre une réponse ou a tenté de convaincre un grand chef, même pas de votre grandeur…

Il retourna auprès de ses hommes et dit :

-Si vous avez une réponse, donné la moi toute suite…

Il remarqua que les orcs avaient commencé a s’agité. Il fit un signe casy imperceptible a ses conseillers de se préparé a une attaques, mais de ne rien tenté avant qu’ils soit attaquer…

Xorgoth avait jusqu'à maintenant gardé un air serein, mi-interessé et mi-songeur. Il avait les bras croisés et le dos droit, son long manteau frottant le sol à cause de al légère brise qui venait des fenêtres ouvertes. Il remarqua l'agitement autour ces 2 chefs. Autant venant des orcs et des gobelins attendant un simple petit doigt pour attaquer les inconnus, autant venant des troupes de Tordek qui avaient ressenti son mécontentement.

Le Seigneur Noir haussa les sourcils en voyant la réation du nain. Autant par suprise que par dérangement. À quoi s'attendait-il? À ce que le chef le plus puissant de l'Ange-Gardien allait lui dire oui sans même prendre d'informations? C'était ridicule, et ce que Dankill ajouta confirmait ses hypothèeses, il croyait que ce serait facile. Il sourit d'amusement, mais il redevint sérieux en se retournant vers ses troupes. Il les fit taire et immobiliser avec un signe de main, pour finalement se retourner vers Tordek qui s'était mis dos à lui. Il s'avança d'un pas et dit d'une voix autoritaire :

-Je vois que vous n'aimez pas mes questionements. Sachez que votre offre m'intéresse toujours , bien que si vous changez d'idée, ce ne sera pas une perte épouvantble.

Sur cette phrase, il eut un sourire provocateur, avant de continuer.

-Mais si vous désirez la maintenair, je suis prêt à vous laisser repartir sans réponse précise. Je souhaiterais recevoir un rapport aproximatif. Ce que je veux dire par rapport, je voudrais savoir environ votre nombre de soldats, vos armes et vos forces. Rien de bien compliqué, mais des informations qui vont m'aider.

Il croisa les bras à nouveau, pencha la tête de côté et attendit la réponse d'un air détendu.

(HJ.Si tu acceptes, tu n'auras pas réellement a me faire de rapport, on s'arrangera.)

Tordek sourit. Xorgoth était bien déterminé qu’il était le plus fort, au point d’insulter sa race et, deux minutes après, il lui demande ses armés. *On croirait presque qu’il veux se préparé pour nous attaquer…* se dit-il. *De toute façon, mes armés réussirons tout de même a le repoussé, si jamais il venait a s’en prendre au miens…* Il dit, sur un ton toujours calme:
-Très bien. Si cela peut vous être utile, et que vous ne l’utiliserez pas contre moi…

Il baissa le ton et se pencha u peu vers l’avant, pour que seul le maître noir puisse l’entendre :
-…alors j’ai… (Le nombre des soldats du chef des nains devra resté confidentiel, raison de sécurité, puisque que des saleté d’elfes pourraient épié ce sujet !)

Tordek se redressa. Il savait qu’en disant c’est information, il risquait la mort et celle de toute sa race (en tout cas, ceux qui vivent dans Les Profondeurs). Mais il savait aussi qu’un allié aussi puissant que Xorgoth pourrait l’aidé dans sa conquête de nouveau territoire. Essayant de se contenir malgré le sourire provocateur du maître de l’ombre, il attendis la réponse…