[terminé] Un adieu des plus... (PV NESSSSSSA)

La nuit imposait lentement sa noirceur aux peuples de l’Ange-Gardien. Alors que tous regagnait sa demeure, une ombre blanche se glissait entre les branches tantôt sec, tantôt mouillé par la brume qui subsistait en permanence dans la forêt elfique. Un homme attendait patiemment que l’ombre ait conquis toute les maisons. Lorsque ce fut fait, Elle descendit de son perchoir pour se dirigé d’un pas assurer vers l’entrer principale. Plusieurs gardes faisaient le guet, mais Vladek Verent se savait capable de les déjoué aussi facilement que l’on parle ou marche. Il se fit invisible et passa sans être repéré. Une vague d’émotions l’envahirent lorsqu’il contempla le château où vivait la reine. Il se dirigea d’un pas rapide et précis vers celui-ci. Deux fois, il failli être vu. Trop obnubilé par l’idée de revoir la reine une dernière fois, il laissait sa concentration se brisé. Lorsqu’il fut enfin arrivé sous la fenêtre ce la chambre de la reine, il constatât avec un sourire qu’elle seule, mise a pars les gardes, était encore réveillé. Il attendit donc quelques secondes avant de commencé à escaladé le mur verticale. Arrivé à la moitié, il s’arrêta un instant pour s’assurer que personne ne l’avait prit, puis il termina son accession. Il enfourcha le porche de la fenêtre ouverte pour se retrouvé à quelques pas de la reine qu’il espérait endormi. Il s’approcha silencieusement du lit et regarda quelques secondes Nessa dans ses songes. Il s’approcha, jusqu'à se retrouvé le visage collé a celui de la reine. Vladek attendit encore en écoutant la respiration de la reine, lui laissa ses lèvres frôlé la joue de la reine. Il se releva et se dirigea vers la fenêtre tranquillement, tout en veillant à ne pas faire de bruit. Soudain…

Vladek se rendit jusqu’au bord de la fenêtre. Alors qu’il l’enjambait, il entendit la reine s’adresser a lui. Verent… Depuis quand l’appelait-elle Verent? Vladek était un peu déçu, bien qu’il sut que les récents évènements n’attirait pas le respect de la pars de la reine. Pendant un moment, il entendit une petite voix lui conseillé de partir avant que sa devienne sentimentale. Il retient son envie de se lancé au bas de la fenêtre et de partir sans répondre a Nessa. Il se retourna et dit :
- Verent? Après tout ce que nous avons vécu?

Son sourire, celui que seule la reine réussissait a lui imposé aux lèvres, revint à la charge. Il s’assit sur le rebord de la fenêtre et laissa son regard se posé sur l’elfe. Ils n’avaient fait aucun bruit, et le château était plongé dans le silence. S’en était effrayant. Seule la nature, vivant en harmonie avec les elfes, venait briser ce silence…

Vladek regarda la reine se levé. Elle avait un petit quelque chose de mystérieux sous cette cape, et l’assassin légendaire n’arrivait pas a détaché ses yeux de la silhouette ombragé de la reine des elfes. Ce qu’elle dit étira un peu plus son sourire. *Tu n’as pas changé* se dit-il. Il resta assis et attendit quelques instants avant de parler. La fraicheur de la nuit entrait dans la chambre par la fenêtre et rendait l’ambiance glaciale. Le regard toujours empreint de cette froideur de la reine était posé sur lui, et Vladek hésitait quelque peu a parlé. Tant den chose, oui… Et très diversifié… Il en était sans doute la cause. Un jour il tentait de la tué, et l’autre il lui sauvait la vie… L’homme en blanc se rappela de la raison qui avait attisé sa colère. La reine l’avait blessé parce qu’il était entré dans sa chambre sans son autorisation. Un peu comme ce soir là, d’ailleurs. Il ne comptait pas faire les mêmes erreurs qu’autrefois.

Donc, finalement, après avoir laissé planer un silence plutôt long, Vladek se leva et dit :
- Je ne suis toujours pas parti…
Il s’approcha un peu de la reine. Lorsqu’elle fut à sa portée, il s’arrêta. Son sourire énigmatique planait toujours sur son visage. Il regarda Nessa dans les yeux et continua :
- Pourquoi crois-tu que je suis venu te voir ce soir?
Son regard toujours plongé dans les yeux de l’elfe, Vladek attendit une réponse. Il ne savait pas trop à quoi s’attendre, surtout de la pars de la reine. En fait, depuis qu’elle était réveillez, il ne voulait pas vraiment s’en allé.

- Bien sur, murmura-t-il.
Même si elle restait froide envers lui, Vladek se doutait bien que son départ allait la chaviré. C’est pourquoi il hésitait à le lui révéler. Il ne désirait pas qu’elle s’attriste ou qu’elle s’inquiète pour rien. Il ne voulait pas non plus la laissé sans lui faire un adieu honorable. Ces deux termes sont pourtant rattaché l’un à l’autre par un lien plus qu’indéchirable. Il pourrait s’en allé, là, tout de suite, comme sa, sans rien ajouté, mais la reine des elfes ne le lui pardonnerait sans doute pas. Mais pourquoi se trouvait-il de la pitié envers elle? Cette pitié lui arrache sa liberté et l’empêche d’agir comme bon lui semble. Et sa, pour un ‘‘hors la loi’’, c’est très mauvais!

Vladek se dit que ces visites à l’improviste chez Nessa allaient lui manqué. L’odeur de forêt humide et vivante se dégageant de la reine allait sans doute aussi lui manquer. Mais pas assez pour l’empêcher d’entreprendre son périple. L’assassin se dit que le moment était sans doute bien choisi pour annoncer à la reine son départ. Son sourire s’effaça. Vladek s’exclama, sur un ton neutre :
- Je pars…
Son visage avait perdu toute expression. Il ne faisait que regarder, les yeux rempli d’indifférence, ceux de la reine. Malgré le fait qu’il aie passé beaucoup de temps avec elle, il ne pouvait pas trop prévoir la réaction de Nessa. Aussi, son message n’était-il pas clair. Mais sa, seul l’elfe devant lui pourrait en jugé…

Vladek eux envie de suivre le mouvement de la reine mais n’en fit rien. Si elle désirait s’éloigné, après tout, s’était son choix. À sa question, il eux un sourire passager, qui disparu quelques secondes après. Avait-elle hésité ou était-ce l’émotion qui faisait trembler sa voix ? Même s’il cherchait à savoir, jamais elle ne le lui avouerait. En même temps, la question de la reine le prenait de court. Il ne le savait pas vraiment lui-même. Il voulait seulement se perdre dans un monde inexploré quelques années. Vladek se pencha (pas la taille, les genoux !) pour se retrouvé environs à la hauteur de la reine. Son regard n’avait pas quitté un instant celui de la reine. Il hésita encore à parler. Lui même ne connaissait pas la destination de son voyage. Mais dire cela ne paraitrait-il pas antisocial ? Vladek eux de nouveau un sourire de passage. Ses anciens camarade, voleurs comme mercenaires, se riraient de sa faiblesse face a cette elfe qui avait réussi a percé toute ses défenses. Il fini par dire :
- Où je vais importe peu, et la duré risque d’être inexacte.
Vladek ferma les yeux un instant. Sa voix paraissait moins sure d’elle, comme celle d’un enfant qui ment mais qui sait que ses parents savent la vérité. Il se reprit et ouvrit les yeux, essayant d’en chassé toute la tristesse que Nessa était arrivé a faire entrer…

En ouvrant les yeux, Vladek vit que la reine s’était approchée. Elle s’approcha encore pour posé un baisé sur son front. La cène qui venait de se produire laissa un vague sourire sur les lèvres sèches de l’assassin. Tout de suite après avoir fait ce geste, Nessa se recula pour se retrouvé dos à lui. Lorsqu’elle parla, une brume envahi ses yeux. Que lui avait-elle fait? Pourquoi ressentait-il un malaise a l’idée de partir? Une boule d’incompréhension et de colère se logea dans sa gorge. Elle ne laissa qu’une seul trace, pourtant, sur le visage de Verent. Celui-ci tremblait légèrement et son visage s’était crispé brièvement. Lorsqu’il retrouva sa tranquillité, une larme avait coulé. Elle s’était arrêté sur sa joue, du coté droit de son visage, tracent une ligne scintillante sur son visage. L’assassin s’approcha de la reine en se relevant. Il ne prit pas la peine d’effacer de son visage cette trace de faiblesse. Il se mit fasse à elle et enracina son regard dans les yeux féériques de la reine. La goute sur sa joue tomba aux pieds de l’elfe. La vue d l’assassin diminua tranquillement d’intensité. Vladek ouvrit la bouche pour dire quelque chose, mais aucun son ne sorti. Seul son battement de cœur résonnait dans sa tête. Il ferma les yeux de nouveau. Il alla chercher tout ce qui restait de lui, de son lui, et réussi à prononcer :
- Je… je… non…

Puis, soudain, tout s’arrêta. L’ombre blanche compris.

(hj: dsl... je crois que... ben, en fait, j'en sais rien, lol)

Vladek regretta d’avoir hésité à répondre. Il regretta de ne pas avoir effacé la goute scintillante de sa joue lorsqu’il en avait eux l’occasion. Il regretta de s’être placé devant la reine pour lui adressé la parole. Il regretta jusqu'à avoir décidé de rendre visite à son amie cette nuit. La seule chose qu’il ne regretta pas fut sa réponse. En fait, cette réponse réussie a effacé les regrets de ses gestes passés. Elle avait sourit. Cette simple… action… avait rappelé à l’assassin pourquoi il est ce qu’il est. Vladek recula et se coucha sur le lit de la reine, sans prendre la peine de placer les draps. Il plaça ses mains derrière sa tête de façon à être confortablement installé. Il ferma les yeux et, d’un sourit, répondit, de sa vois narquoise habituelle :
- De ta par, sa ne me surprends pas…

Il croisa ensuite ses jambes et ouvrit les yeux, avant de les posé sur la silhouette de la reine. Elle était comme enveloppé d’une lueur bleuté, ce qui la rendait encore plus… m’enfin, vous voyez ce que je veux dire…

Ce que Nessa lui dit ne fit qu’étirer encore plus son sourire. Ensuite, elle alla peignée ses cheveux devant le miroir. Vladek la regarda un instant, puis se leva. Le château s’animait. Les cuisiniers avaient commencé a cuisiné, les servantes courraient un peu partout pour préparé la demeure royal à un autre jour. Vladek s’approcha un peu de la reine et la regarda s’attacher les cheveux avec une lueur mystérieuse dans les yeux. Bien qu’il eux autre chose a faire, l’assassin légendaire décida de passé un peu plus de temps avec Nessa. Maintenant debout derrière elle, à environs un mètre, il dit, toujours souriant mais avec une voix plus sérieuse :
- Il est parti ce matin, avec quelques-uns de vos vaillants guerriers.

Vladek n’eu pas le temps de dire autre chose. Soudain, la porte de la chambre s’ouvrit et une jeune elfe entra en disant un bonjour qui laissait paraître la monotonie de l’habitude. En voyant l’assassin, Wanda laissa tombé le cabaret qu’elle tenait et se retourna pour partir. Vladek voulu la rattrapé, déjà elle était dans les escaliers et criait <<à l’aide!>>. Vladek regarda la reine avec un air de déjà-vu, puis un entendis le cabaret heurter le sol. Apparu alors, dans le cadre de porte, un elfe à la carrure plutôt arrondit. Celui-ci s’élança vers l’assassin avec sa matraque. Avant l’impacte, Vladek eux une pensé : Ah, ce foutu cousin!

Vladek était déjà près et sa lame caché siffla juste avant que... Tout a coup, la reine se retrouva entre lui et sa proie. Vladek se dépêcha de rengainé son arme pour ne pas la blessé, mais il était déjà trop tard. En se positionnant ainsi, la reine s'était coupé, bien que très légèrement, le milieu de la cuisse. D'ailleurs, quelques goutes de sang tombèrent au sol depuis le compartiment secret de sa lame. Vladek fit un pas en arrière tout en jugeant son adversaire... si se l'était toujours. Le cousin royal jeta un regard sur sa protégée. Celle-ci lui barrait la route. Bien entendu, même lui, enfin, surtout lui ne se risquerait à désobéir à la reine ou à se mesuré à elle. Il baissa son arme et attendit une explication, ce que Vladek se priva de lui offrir.

Il préféra reculer encore et attendre, un sourire songeur accrocher aux lèvres. *Décidément, pensa-t-il, ce Nicolas arrive toujours aux mauvais moments.* Il se doutait que, quelque fut le degré d’importance de ce qu’il venait d’annoncé à Coamenel, celle-ci n’aurait d’autre choix que d’accueillir son invité comme il se doit, de lui offrir un repas et d’écouté le récit de son voyage jusqu'à la belle cité elfique, ce qui pourrait durer plus de quelques heures.

Il se dit que, si la reine prenait ses manières royal trop au sérieux, il quitterait le palais et repartirait tout de suite vers le… déserteur… pour tenté de le ‘‘raisonné’’. Non pas qu’il croit que cette histoire, entre le général et la reine, ne soit possible, mais le fait qu’il quitte le camp des Longues Oreilles pourrait désavantagé franchement sa race favorite dans la guerre qui se prépare…

Vladek toisa le cousin de la reine avant que celui-ci aille calmer l’alarme, puis il porta plus attention à la reine. Ce n’était pas une blessure grave, mais l’éviter n’aurait pas été un luxe. Ne sachant pas trop comment réagir, il alla s’asseoir au bord de la fenêtre pour regarder la ville s’éveiller peu a peu, puis ramena son regard sur Coamenel. Il eu un sourire transparent en se disant qu’il était a prime abor venu pour repartir ensuite, maintenant, il ne voulait plus. Il repensa a tout ce qu’ils avaient vécu ensemble et se rendit compte qu’il ne s’était jamais rapproché d’une personne autant, sauf avec Plume et Darkatos. Il trouva amusant le fait qu’il bâtisse une relation semblable avec un assassin et une reine. M’enfin, c’était.. ironique ?

(dsl c court.. mais c'est tout ce que j'ai x) )

Vladek regarda la reine pendant qu’elle se leva du lit, qu’elle tira le banc et s’assit dessus. Par contre, il du se résigner à se retourner vers la fenêtre lorsque la reine le lui demanda. Se lassant d’attendre, il dit, sans se retourner :
- Vous viendrez me rejoindre lorsque vous aurez fini..
Sans plus, l’assassin traversa la fenêtre et monta sur le toit. Le soleil commençait sa rotation autour de la planète, lentement, si bien que Vladek eu le temps de contempler un lever de soleil pour la seconde fois de sa vie, la première étant lorsqu’il avait réussi a vaincre un chef de guerre orc. Il avait combattu toute une nuit pour finir parle le vaincre et rapporter sa tête au payant. Perdu dans ses pensées, il n’entendit pas Coamenel le rejoindre…

Vladek fut tiré de ses pensé par la reine. Elle était près de lui maintenant. Elle lui proposa de retourner à sa chambre, mais Vladek continua de contempler le lever de soleil sans répondre. Enfin, quand les lueurs féérique quittèrent les nuages, il accepta et retourna dans la petite chambre.

Le dégât avait été nettoyé et un nouveau cabaret, contenant de la nourriture pour deux cette fois, était sur la petite table. La porte se refermait doucement lorsque Vladek posa les pieds sur la pierre. Tout avait été replacé en effet. Vladek attendit que la reine le rejoigne pour s’asseoir de nouveau sur le bord de la fenêtre d’où venait des cris d’oiseaux. Vladek, toujours calme, reprit :

- Il est parti.

Vladek observa la reine se glissé dans sa chambre par la fenêtre puis s’asseoir sur le lit, avant de se relevé. Les deux se fixaient intensément et la reine prit soudain un air plus sérieux. Elle lui parla d’envoya une troupe le rapatrié, mais, bien entendu, l’idée était futile ; le général saurait se défendre. L’assassin se demanda comment la reine pouvait rester calme a ce point lorsqu’il venait de lui apprendre que son meilleur stratège et - fin guerrier – était parti pour on ne sait où, bien que la question ne se posa pas. Soit elle est très forte, soit elle croit qu’un général et une poignée d’homme ne vaut rien. Vladek choisi la première option. Connaissant la reine, il ne l’avait que très rarement vue perdre son sang froid. Chaque fois, il n’était pas tout a fait présent.. Donc ses souvenir étaient flou, a son grand mécontentement. Enfin, il laissa son regard errer sur les vivres qui trainaient sur le bureau et s’en approcha un peu, avant de rapporté son regard sur la reine, un regard interrogateur cette fois.