Est-ce nouveau ? [tss... VLADEK !!! :p ]

Vladek marchait dans la ville de Yuxe. Il aimait bien passé du temps dans les villages elfes, car les gardes n’étaient pas aussi perspicaces que ceux des contrés humaines. Ou bien on ne le recherchait pas. Pour en revenir a Vladek, alors qu’il marchait vers se qui lui semblait une fontaine, quelqu’un lui fonça dedans. Et pas qu’un peu. Il faillit tombé, mais se soutint le poids de la personne. Il allair sortir sa lame lorsqu’il nota un point important : la personne qu’il soutenait avait une cape. En général, les soldats ne porte pas de cape. Il ne fit que rattrapé la personne, pour ensuite la soulevé avec délicatesse. D’une voie brusque, qu’il prend souvent pour faire peur ou pour provoquer, il lance :
-Fait attention où tu mets les pieds, vermine…
Il se retourna pour continuer son chemin. Bien entendu, il avait changer sa voie, mais s’était pour être sur, si jamais s’était un mercenaire employer par un quelconque homme, qu’il ne puisse le reconnaître…

Vladek s’arrêta et pencha la tête a 70 degré vers l’arrière. Il s’était arrêté environs au centre d’une intersection entre la rue où se trouve la personne qui lui tien tête et une autre. Un chariot conduit par un petit paysan passa entre les deux. Lorsqu’il eux passé l’intersection, Vladek avait disparu. Une lame se posa sur le cou de la petite paysanne. Vladek, dans son dos, lui dit :
-Fait attention a se que tu dit…
Il resta là encore un moment, puis remit sa kukri dans son foureau. Il se retourne et s’en va dans la direction opposée. Après quelques pas, il dit :
-Ne t’avise plus de te mettre dans mes pattes… vermine…
Il continu a marcher, tout en surveillant de ses sens, au cas ou la petite serait assez téméraire pour lui sauté dessus…

Vladek se retourna avec vivacité et donna un violent coup de poignard dans le ventre de la dame. S’était peut-être un elfe, mais il y avait des limites à offusquer Vladek Verent… Et celle là venait de les atteindre. Il poussa ensuite du pied la dame qui s’écroula a quelque pas de Verent.
-Voilà ce que je vous ferai… vermine…
Du sang maculait sa kukri. Il sourit à sa victime. Si elle parvient a survire, pensa-t-il, alors elle aura appris sa leçon… Il leva les yeux et vit des elfes qui couraient en tout sens, apeuré par l’acte de Vladek. C’est lorsqu’il vit les soldats arrivés que Verent quitta l’endroit. Il se faufila dans une ruelle mal éclairé et tourna a quelque reprise entre les maisons, jusqu'à ce que les gardes aies perdu sa trace en fait. Il se dirigea alors vers le centre de la ville, l’endroit le plus bondé en ce moment, a cause des marchés ouverts a cette heure…

Vladek s’était fofilé dans la foule avec une aisance hors du commun. Pendant qu’il se fondait dans la foule pour échappé au garde sylvestre, une étrange sensation revenait sans cesse lui enté l’esprit. Ces yeux… Il les avait déjà vus… Mais quand? Où? Absorbé par ses pensés, il ne remarqua pas que les soldats elfes l’avait rattrapé. C’est le l’ordre bref envoyer par l’un d’eux qui le ramena a la réalité. Il était encerclé. Il en dénombra une trentaine. Sa seule issue se situait à sa gauche. Une petite caravane où un marchant vendait des tapis aux couleurs séduisantes était situé a un mètre d’une maison. Monté sur le toit aurait été facile si il aurait été a moins de quatre mètre, mais celui-ci comportait deux étage, et son toit était a au moins neuf mètres. Tout fois, s’était sa seul chance de s’en tirer. Le cercle se refermait tranquillement autour de lui. Il chargea à gauche et, feintant une attaque haute, frappa de sa lame la cuisse du soldat. Celui-ci s’effondra en lançant un cri strident. Effectuant une esquive impeccable, il se retrouva tout près de la caravane. Il monta dessus et sauta. Il n’atteignit pas le toit, mais réussi tout de même a monté jusqu'à une fenêtre et de pénétré dans la maison. Les citoyens, affolé, s’enfuir. Verent ne put que s’en réjouir. En montant sur le toit, il ressentit une douleur cuisante au niveau de son épaule droite, qui avait été camouflé par l’adrénaline du moment. Il lança un juron en retirant la flèche qui s’i était planté. Arrivé au toit, il sauta sur un toit un peu plus bas, puis sur un autre, avant de se laissé glissé dans une ruelle et de se remettre à courir. Il arriva finalement à une petite ruelle sombre. En s’arrêtant de courir, la sensation revint et Vladek, toujours aussi concentrer, ne remarqua pas la silhouette adossé au mur…

Trop absorbé par ses pensé, il ne senti pas la jeune fille s'approcher. D'un geste vif, elle passa son bras autour de son coup pour plaquer son poignard sur son coups. Chose curieuse, elle s'appuya sur ses épaule, sans doute sa blessure la faisait-elle souffrir? Autre chose curieuse, elle lui faisait face. Sans doute croyait-elle être capable de voir venir ses coup de face? Lorsque la lame froide s'était posé sur son coup, par réflexe, il avait sorti sa lame cacher tinté de sang, et avait frapper sous le menton de son ennemie. Son geste s'était arrêter pour que la lame se retrouve a quelque millimètre du menton de son assaillante. Ce qui avait arrêté son geste? <<Ses yeux...>> Troublé, il fut déconcentrer un moment.<<Ses yeux...>> Il la regardait dans les yeux, ses même yeux énigmatique qui lui avait fait lâcher sa garde a deux reprise. Lorsqu'elle parla, il revint a la réalité. En sentant la lame sous son coup, il appuya un peu plus sur sa lame et un mince filait de sang coula le long de sa lame.
-Que-ce que tu veux?

Son ton s'était fait froid, dure, tel une promesse de mort. Toutefois, la ténacité de la jeune fille qui devait avoir 18 ans le séduisait un peu... Aussi, la fluidité de ses mouvements, la froideur de son regard, lui faisait le même effet Son visage était a quelques centimètre de celui de l'elfe et un sourire effleura les lèvre de Vladek, presque imperceptible dans l'obscurité toujours plus écrasante.

Et oui, elle s'était mise face à lui ? Peut-être pour essayer qu'il la reconnaisse. Mais elle entendit le son de la lame du jeune homme, mais elle n'appuya pas plus fort sur la lame sous le cou de l'assassin. Par contre, elle releva le menton un peu. Mais il était plus grand que lui, alors, ses yeux restaient posé sur les siens. Elle avait remarqué qu'il avait arrêté son geste, se qui était heureux car sinon, elle se serait jetée par derrière. mais maintenant, il appuyait sa lame sous son cou, et elle sentit que quelque chose coulait dans son cou. Rahh, il l'avait encore blessée ! Elle avait déjà de la difficulté à cacher ses blessures... une dans le cou, encore, était difficile à dissimuler. En tout cas, elle ne broncha même pas, l'écoutant posé sa question. Un sourire qu'il ne pouvait voir s'afficha sur ses lèvres. Et non, son ton ne l'effrayait guère. S'il lui demandait une question, c'est qu'il ne comptait pas la tuée maintenant. Enfin, il faisait gaffe, non ?

-Ce que je veux... Je sais pas... Attirer ton attention ? Petite pose. Je devrais faire gaffe à se que je dis, un assassin peut toujours être imprévisible... Mais tu es différent des autres, je me trompe ?

Elle ne parlais pas de son imprévisibilité, mais simplement qu'il était différent des autres assassins. Et oui, elle le connaissait plutôt bien, ce Verent. Plus que lui ne le croyait, probablement. Cependant, le ton de la reine, bien que froid (comme toujours), était provocateur, et quelque peu différent de sa vrai voix. elle la changeait, se qui ne devait pas aider son ami à deviner qui elle était. Peu importe, elle voulait bien savoir combien de temps il prendrait à reconnaître la femme qui lui avait foncée dedans, un peu plus tôt.

Le sourire était resté planté sur son visage. Imprévisible? Différent? Peut-être... Mais avait-elle connu plusieurs assassins pour pouvoir le juger? L'avait-elle épié? Tout était confus en lui, aussi il relâcha sa vigilance et sa lame se rétracta sans qu'il ne s'en rende compte. Elle était blessé, le sang coulait sur sa cape, et si elle restait là, probable qu'elle s'évanouirait. Peu importe, il garda son regard dans celui de la jeune elfe. Si impénétrable. Il lui sembla un instant avoir déjà connu cette personne, pourtant, son esprit lui indiquait le contraire. Une minute s'écoula, il ne dit rien. Son sourire avait disparu, allé savoir pourquoi. Verent sentait que s'il laissait la petite elfe en vie, elle lui causerait des problèmes, encore... Sa l'aurait tellement été plus simple d'en finir maintenant, mais il lança une autre question.
-Et en quoi différent?

Il avait parler, mais sa voix n'exprimait plus de sentiment. Peut-être la fatigue, rien de plus. Une sensation semblait vouloir prendre le contrôle de ses membres, mais Vladek était trop occuper pour s'en rendre compte. Le soleil se faisait bas et la ruelle peu éclairé deviendrait bientôt trop sombre pour que Vladek ne voie avec ses yeux...

Vladek n'avait pas trop compris le sens de ce que la jeune elfe venait de lui dire, mais il se doutait que se n'était pas la réponse qu'il attendait. Le soleil avait terminer sa chute et seul la lune et les étoiles permettaient a Vladek de distinguer les choses avec ses yeux. L'éclat de la lame d'argent luisait sous la lumière des étoile. Et ces yeux semblait produire des étincelles. Il était comme absorbé par ses yeux, mais il ne savait pas pourquoi. Tout en lui semblait lui dire qu'il la connaissait, qu'il avait déjà ressentis cette sensation..
-Qui t'envoie?

La question était sorti tel un murmure, sans qu'il puisse le raffermir. Il se laissa faire. De toute façon, il était trop occupé pour pensé aux dangers que la petite pouvait lui transmettre, et il n'avait pas peur. Il attendait juste le bon moment pour...
Un sourire trouva son visage alors que le poids de l'elfe se faisait plus insistant...

Pourquoi? Pourquoi refusait-elle de répondre? Même si elle était de plus en plus faible, même si, d’un coup sec du poignet, Vladek pourrait la réduire au silence, elle s’entêtait à être sarcastique et a attarder le moment de sa mort… ou de la sienne? Peu importe, Verent écouta ce que la petite blessé avait à dire. Rire? Quand avait-il rit pour la dernière fois? Un mois? Deux peut-être… Sans doute parlait-elle de son sourire… Tranquillement, alors qu’elle était occupé à lui reprocher son sourire, il avait levé sa main droite pour la posé sur la mais de la petite fille qui tenait le poignard. Il poussa tranquillement, pour qu’elle lâche prise. De son autre main, il la soutenait sous l’épaule du bras qui l’assaillait. Il poussait tranquillement, pour ne pas l’apeuré ou lui faire mal. Peut-être que cette petite elfe avait des parents ou des amis tombé sous la lame du légendaire assassin, et, par vengeance, elle l’avait traqué pour le tuer. Seulement, il ne voulait pas sa mort. Parce qu’elle était un elfe, mais peut-être un peu aussi parce qu’elle était… séduisante… Tout le long de sa manœuvre, il avait gardé ses yeux dans ceux de cette jeune fille…

Elle n’avait pas tenté de l’attaquer? Ceci effondrait sa théorie de la vengeance. Pourquoi, alors, ne fichait-elle pas le camp pour l’infirmerie la plus proche? Lorsqu’elle fit référence à ses agissements pour qu’il fût différent, il se figea un moment. C’est comme s’il reprenait conscience. Son sourire disparu. Il était en train d’aider un inconnu qu’il aurait volontiers poignardé en temps réelle. Seulement, la curiosité et son attirance pour l’elfe lui avait fermé les yeux sur… <<Ses yeux...>> Encore ces foutu yeux! Que-ce qu’ils avaient de si… intriguant? Mais bon, qu’elle se soit laissé faire était surprenant. Pendant un instant, il pensa a ce pourquoi cette petite elfe l’attirait tant, l’empêchait de la tuer, d’en finir enfin… Il dit, alors qu’un sourire allait se planté sur ses lèvre :
-Vous savez, vous me faite pensé a une amie…

Ce qui l’attirait? Le fait que la petite elfe soit têtu et qu’elle s’acharne à prendre des risque, comme Nessa… Le fait qu’elle ait cet éclat dans les yeux, cette fraicheur dans la voie… comme Nessa… Sa posture et son désir d’aventure, de toujours franchir les limites… comme Nessa… Mais, elle, elle avait ce que Nessa n’avait pas, don un ton plus doux, chaleureux, envoutant… et, elle, lui sembla-t-il, n’ésitait pas a faire par de ses sentiments aux monde…


//Lui sembla-t-il, j’ai dit!!!//

Vladek se sentait bien en la présence de la petite elfe. Son sentiment de solitude, qu’il avait autre fois aimé, attendu, apprécié, lui paraissait supplice face a ce moment. Il aurait eux envie de serré la petite elfe dans ses bras, sentir son parfum, regarder les étincelles dans ses yeux, écouté sa voix… C’est le mot qu’elle prononça qui le ramena. Elle était toujours là, se soutenant de son bras. « Vraiment? » Que pouvait-il répondre? Il n’avait pas envie de parler à tout le monde qu’il connaissait la reine des Elfes. Cherchant à changer de sujet, il dit la première chose qui lui passa par la tête :
-Désolé pour le coup de poignard…

Et voilà, un autre sujet qu’il ne voulait pas aborder. Bon, il ne pouvait plus reculer, et quitte a donné de banale excuse…
-Elle te fait souffrir?

Il faisait référence a la blessure sur qui perforait le corps de son… de son… d’elle…( j’ai rien trouvé mieux…) En parlant, il avait posé la main sur la blessure, se rapprochant encore de… d’elle…

Elle soufrait. S’était évident, pourtant, elle refusait de l’admettre, comme… Il s’arrêta. Pourquoi est-ce qu’il pensait toujours a elle, alors que, en ce moment, il se trouvait avec ‘‘Petite Elfe’’? (nom qu’il lui avait désigné pour mettre sa clair dans ses pensé.) Elle s’embla vouloir reculer, mais se ravisa. Aussi, elle sera les dents et, en lui répondant, sa voix s’embla s’émietté.
-Oui, c’est sure…

Il avait répondu dans un souffle, un soupir. Il la força à s’asseoir, sans vraiment la brutalisé, mais en la retenant pour pas qu’elle tombe. Lorsqu’elle fut en position semi-assise, accoté sur le mur derrière elle, Vladek s’accroupi aux coté de Petite Elfe, gardant toujours sa main sur la blessure a l’abdomen de sa protégé. Il retira son autre main et, au passage, il caressa la joue de celle-ci. Ce fut si rapide qu’il senti à peine la peau toucher sa main. Peut-être verrait-elle cela comme un accident, mais le regard qu’il posa sur elle le trahissait. Il resta accroupi aux coté de Petite Elfe, attendant qu’elle s’exprime…

“Pourquoi tu t'occupe de moi, tout d'un coup?”
Cette question, il se la posait depuis un bon moment déjà. Pourquoi? Vladek se refusait de le lui dire.
Aussi, il fit comme si de rien n'était. Il dit plutôt:
-Cette blessure va s'aggraver si tu reste ici, et je doute que tu puisse marcher plus de vingt pas... Tu habite loin?

Il lançait des regards autour d'eux. La nuit s'était pleinement installé dans la ville de Yuxe, et il ne voyait pas plus loin que deux mètres, et sa grasse a la lune! La cité semblait être sans vie, bien qu'il y aies quelques elfes (surtout des gardes) qui rodait dans le coin...